Chirac nous bassine depuis quelques temps avec la sacro-sainte ‘République’ : "Nous sommes tous les enfants de la République", faisant de celle-ci une valeur supérieure à la France. "Soyons intransigeants sur les idéaux de la République", seule éducatrice, seule dispensatrice de gratification, basée sur l’humanisme et seule référence éthique. Mais nous savons que nos politiques sont des farouches partisans de la méthode Coué, car, au fond, s’ils nous parlent sans cesse de la République depuis quelques temps, c’est, quelque part, pour se convaincre qu’elle existe encore. La France est-elle donc encore une République ?
C’est Saint Augustin qui nous fournit la réponse (in La Cité de Dieu, Livres IV & XIX), à l’origine destinée à Rome, mais s’adaptant très bien à notre pays : là "où il n’y a pas de justice, il n’y a pas de république", les prétendues "vertus" païennes sont en réalité des "vices", et la France n’est finalement rien d’autre qu’une bande de voleurs ou d’"immenses brigandages" : "sans la justice, en effet, les royaumes sont-ils autre chose que de grandes troupes de brigands ?". Et, nous explique le Docteur de l’Eglise, la véritable justice politique demandant que chacun reçoive ce qui lui revient, la société aussi doit pratiquer le culte véritable afin de donner à Dieu ce qui lui revient.
svenhought
D’ailleurs, Chirac et Mitterand sont de fameuses figures de brigands qui nous laisseront stupéfaits lorsque nous apprendront le détail de leur brigandages, sans parler de ceux commis par leur entourage familial typiquement mafieux.
florent
Les détails de leur brigandage, on les connait déjà et c’est ce qui est encore plus scandaleux. Qu’on se le dise: si la république permet cela ( et pas depuis hier, rappelez vous l’affaire Stavitsky ), alors c’est bien qu’elle est foncièrement mauvaise comme régime.