Après la Belgique et l’Allemagne, c’est la Grèce qui se retrouve victime de violences. Une trentaine de jeunes cagoulés ou casqués ont jeté jeudi des pierres et de la peinture rouge à l’entrée de l’Institut français de Thessalonique, dans le nord de la Grèce. Les agresseurs ont écrit à proximité de l’entrée de l’institut des slogans de soutien aux émeutiers français.
La presse ne le dit pas, mais il doit certainement s’agir de jeunes défavorisés, discriminés, sans éducation, pauvres, vivant précairement dans des logements insalubres et victimes d’humiliations quotidiennes par les forces de police…