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France : Politique en France

La guerre culturelle est déjà gagnée

Sous la plume de Me Trémolet de Villers, dans Présent :

"Ces choses commencent le 10 mai 1981, par l’élection à la présidence de la République de François Mitterrand. Cette élection constituait un fait nouveau, «le fait nouveau du socialisme au pouvoir», disions-nous à l’époque. Car c’était la première fois, dans notre histoire, que l’idéologie socialiste, qui avait culturellement explosé en mai 68, trouvait un levier politique aussi fort. Ni Léon Blum, sous la IIIe République, ni Guy Mollet et la SFIO, sous la IVe République n’avaient bénéficié d’institutions aussi fortes. […] Effectivement, pendant quatorze ans – et après – sous des ministres différents, un seul ministère continua dans le même esprit, celui de Jack Lang, la Culture. Cette «culture» que Charles de Gaulle en 1961, avait «laissé à la gauche comme un os à ronger» prenait le pouvoir, et était bien décidée à le garder. Dans l’éducation nationale, dans les médias, dans la magistrature, c’était le triomphe social et institutionnel […] des révolutionnaires en peau de lapin de Mai 68 qui deviendront, les bourgeois-bohêmes (bobos) du Paris d’aujourd’hui.

[…] Il n’est pas certain que Jacques Chirac, qui est moins bête qu’il n’y paraît, n’ait pas senti qu’au point où se trouvait la domination idéologique de la Gauche en France, il ne pouvait que se couler dans ce système s’il voulait être élu. Il se rallia donc à une stratégie de droite molle et complaisante à la gauche ou, plutôt, il manifesta que son seul ennemi était le Front national. […]

[A]ujourd’hui, les cadres de cette gauche arrivée au pouvoir en 1981 ont considérablement vieilli. […] Leurs successeurs ne parlent plus de «jouir sans entrave», ni de chercher «sous les pavés, la plage», mais «d’ordre juste», «d’intégration sociale», de «chance au travail». […] Le successeur de Jacques Chirac reprend les thèmes de Jean-Marie Le Pen pour essayer de lui prendre ses voix et Ségolène Royal ne veut pas être en reste avec la nation, la France, la famille et le travail qui sont, rappelle-t-elle, des valeurs de la gauche. Et, comme pour signer ce renversement, elle retire à Jack Lang la charge du programme sur la Culture.

Le fait nouveau, évident, massif, de cette campagne est dans ce changement du discours. La France et son identité sont revenues au centre des propos. Celui qui donne le ton, ce n’est plus Cohn-Bendit, c’est Jean-Marie Le Pen. Il se peut que sa victoire ne soit pas électorale, directement. Mais ce changement-là durera, car il n’est que la transcription politique d’un autre mouvement, beaucoup plus profond et qui finira par être, même en France, irrésistible, le mouvement de renaissance ouvert dans l’Eglise de notre temps, par le Pape Jean-Paul II, à son avènement, le 22 septembre 1978 : «N’ayez pas peur ! Ouvrez toutes grandes au Christ les portes de vos systèmes politiques, économiques et sociaux.»"

Michel Janva

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17 commentaires

  1. Ben non, la bataille culturelle n’est pas gagnée, elle est très largement perdue. Notre argent subventionne toujours la grande imposture de l’art contemporain qui, parfois inepte, est le plus souvent blasphématoire et poussant à la moralité. Dans les écoles, les élèves sont amenés aux expositions d’art contemporain : la jeunesse ainsi est exposée rapidement à l’impudicité et au nihilisme. La propagande homosexuelle, subventionnée par nos impôts, est offerte aux écoliers de plus en plus jeunes. La télévision, sa médiocrité et sa propagande en faveur des “nouvelles moeurs”, règne de plus en plus en maître, puisque le temps moyen de télé par jour est de 3h30… Le cinéma, pareil…
    L’ordre juste n’est agité par Ségo que pour faire passer plus efficacement ses idées subversives… on ne parle d’identité nationale que pour mieux faire accepter sa disparition.
    Ne nous voilons pas la face !

  2. C’est Villiers qui a rendu les idées de JMLP comestible, même si sans doute JMLP en a la paternité dans le temps, jamais Sarko ou Royal ne les auraient repris si Villiers n’avait pas fait la transition et là est déjà sa victoire même si elle est ingrate car personne ne s’en rend compte… Mais si on étudie le vocabulaire des candidats, c’est celui de Villiers qui est repris : assistanat, sentiment d’appartenance, reconnaissance du travail… il a une façon de parler plus imagée et moins “orateur” que JMLP ! Je pense que les deux combats se complètent mais Me Trémolet qui se dit royaliste plaide pour la 3° fois pour un républicain ce que je trouve malhonnête.
    [Libre à vous de traiter Me Trémolet de malonnêteté… mais affirmer que c’est grâce à Villiers que les thèmes de Le Pen sont repris, c’est un peu tiré par les cheveux quand même. MJ]

  3. Si vous suiviez objectivement la campagne électorale, vous auriez constaté que le successeur de Jacques Chirac n’est pas Nicolas Sarkozy mais François Bayrou. C’est à partir du retrait de Jacques Chirac que François Bayrou est monté dans les sondages puis à partir du soutien de Jacques Chirac à Nicolas Sarkozy que le candidat UDF a amorcé son déclain. Vous embrouillez vos lecteurs en faisant passer Nicolas Sarkozy pour l’héritier de Jacques Chirac.
    [Ce à quoi on peut répondre que Chirac soutient Sarkozy, qui est aussi le président de l’ex-parti de Chirac. A ce titre, c’est bien Sarkozy le successeur de Chirac. Mais si vous parlez des idées, effectivement, Bayrou serait le successeur tandis que Sarkozy chasse sur les thèmes de Le Pen. Et encore : Chirac aussi a chassé sur les terres de Le Pen. MJ]

  4. Je suis d’accord avec Olivier, la guerre culturelle est tout sauf gagnée. Ce qui se passe c’est que l’adversaire (nihilisme) a gagné presque partout et instauré son règne; mais, puisque perverti, celui-ci fatigue déjà et commence à se fissurer de partout. Son écroulement va venir, plus ou moins vite, mais les prétendants à la succession seront nombreux. Notre civilisation, centrée sur le Christ, aura son rôle à jouer mais est toujours en situation de faiblesse quelle que soit la justesse de ses analyses. Intellectuellement nous sommes vivaces mais concrètement, tant qu’une majorité de gens n’émettront pas spontanément le souhait ardent de recevoir le Sacrement de l’Eucharistie et de vivre en Lui, nous resterons très minoritaires.
    Globalement, malgré de nets progrès, je trouve que nous Catholiques ne sommes pas préparés et soudés à ce qui va advenir, et qui va sacrément secouer le continent. Au moins autant que le siècle des “Lumières”.

  5. A Olivier
    NON, il n’y a pas de grande imposture dans l’art contemporain. Il y a une imposture de l’art subventionné, ce qui est différent. Je ne nie en rien la pourriture subventionnée, mais je sais apprécier l’art contemporain des vrais artistes, car il y en a et j’en cotoie de nombreux.
    Il faut distinguer le faux art du vrai, ce que vous ne semblez pas réussir à faire.

  6. Je ne partage pas, moi non plus l’optimisme de Me de Villers. Je partage les opinions d’Olivier et des autres commentateurs.
    En 1975, la population dans sa majorité rejetait l’avortement, aujourd’hui elle le considère comme un “droit”, alors que c’est un homicide. C’est une pensée monstrueuse, totalement pervertie par l’appareil d’Etat, l’Education Nationale et les “grandes écoles” telle que l’ENA et l’ENM.
    La démission de beaucoup de catholiques, voire leurs complicités, sur ces questions n’est pas pour rien dans cet anéantissement de la culture.
    Nous vivons aujourd’hui dans cette barbarie à visage démocratique et scientifique. C’est un chaos intellectuel, anti-humain dans lequel nous vivons.
    Heureusement, nous avons la géniale pensée de Benoît XVI, dont nous sommes encore loins d’avoir épuisé la richesse.
    Benoît XVI est notre espoir pour reconstruire un ordre juste et pacifique.
    Il nous manque encore un homme politique enflammé pour la justice et les droits de l’homme, qui aime notre pays et notre identité.
    […]

  7. Le pessimisme de l’agriculteur trop souvent déçu et qui compense sa peur d’un nouvel espoir déçu par une vision négative ne doit pas nous empêcher de voir les signes des Temps qui sont très nombreux à nous aider dans notre Espérance Théologale qui est basé sur Notre Seigneur qui ne peut ni nous tromper ni nous abandonner.
    Vue de mon observatoire l’évolution récente est des plus encourageante, J’y vois sans difficulter les évolutions du figuier…

  8. Comment peut-on comparer JMLP et Jean-Paul II?

  9. A MJ : nous sommes d’accords, François Bayrou est le successeur de Jacques Chirac au niveau des idées, c’est à dire le ni droite ni gauche. Alors, pourquoi Chirac a apporté son soutien (une déclaration sèche de 1″30…) à Nicolas Sarkozy ? Parce qu’il n’avait pas le choix, sinon il ne l’aurait pas fait, Nicolas Sarkozy étant son pire ennemi.
    Pourquoi repprochez-vous à Nicolas Sarkozy de se donner les moyens de diriger le pays ? N’est-ce pas lui qui a sorti Jean-Marie Le Pen du ghetto dans lequel l’a toujours coincé Jacques Chirac ? Jean-Marie Le Pen saura-t-il, enfin, faire de la politique, c’est à dire passer des alliances pour jouer un rôle responsable ou va-t-il encore une fois faire gagner la gauche en se réfugiant dans son refus systématique d’accéder au pouvoir ? La France est majoritairement de droite et c’est Jean-Marie Le Pen qui est responsable de la gauche, la vraie et la fausse, au gouvernement. La réélection de Jacques Chirac en 2002 en est la preuve, ne croyez-vous pas ?
    [Ce que je crois, c’est que rien ne prouve que Sarkozy soit meilleur que Chirac ou Bayrou. Pour la simple et bonne raison que tous les 3 ne veulent pas renégocier les traités européens mais souhaitent voir la constitution européenne prendre le pas sur la souveraineté de la France. Alors le reste a peu d’importance quand on sait combien l’Europe impose sa loi. MJ]

  10. Bien sûr je distingue le vrai art du faux. Mais le dit “art contemporain” n’est pas de l’art, et la plupart des vrais artistes d’aujourd’hui récuse le terme, et l’utilise pour désigner et brocarder l’art officiel subventionné.
    Christine de Sourgins dans son livre Les mirages de l’art contemporain distingue ainsi l’art contemporain de l’art d’aujourd’hui.

  11. M. Tremolet s’imagine qu’il est tjs temps de tourner la page, que la France peut redevenir elle-même en reprenant le chemin perdu de sa vocation. C’est oublié un peu vite les conséquences démographiques et culturelles de ces trente dernières années qui font que la France d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec celle de la visite du Pape en 1979. La mutation du peuplement vécu par ce pays est telle que M. Tremolet peut faire une croix définitive sur l’heritage chrétien qui ne dit d’ailleurs plus rien aux jeunes génération, mise à part une petite minorité encore élevée dans la foi catholique. Les phénomènes démographiques ne pardonnent pas, une fois qu’ils sont lancés comme aimait à le rappeler P. Chaunu. Les civilisations disparues sont là pour nous le rappeler: on ne triche pas avec les berceaux. Il faudra donc trouver un nouveau nom pour ce pays appelé France à la suite de l’invasion des Francs. L’histoire du pays qui émerge sous nos yeux est encore à écrire. A contrario du baptême de Clovis, les fonds baptismaux d’où émergeront sa culture et son caractère national ne se trouvent pas en terrain évangélique mais dans le nouvel évangile laïque et le communautarisme religieux. Maïtre Trémolet est honoré par ses nobles intentions en ce qui concerne la résurrection chrétienne de ce pays. Il a en a parfaitement le droit mais il ne peut imposer ses désirs aux aspirations du peuple nouveau qui s’installe et prolifère dans cet espace géographique en quête d’une nouvelle identité.

  12. A MJ : l’Europe, soyons clairs, c’est l’Allemagne. L’Euro n’est rien d’autre que le deutchmark. Si nous lâchons l’Allemagne, c’est nous qui coulons. La seule chose qui nous tiens encore parmis les grands, c’est la dissuasion nucléaire. A l’ONU, c’est 5+1. Qui est ce 1 ? L’Allemagne. A-t-elle la force de dissuasion ? Non. Alors, pourquoi est-elle considérée comme membre permanent ? Parce qu’elle forme un couple avec la France. Nous avons la bombe, elle apporte le reste. C’est le deal.
    Dire non à l’Europe (sans la Turquie), c’est rompre le couple franco-allemand et nous retrouver seuls face à la mondialisation. Suicidaire. Il faut se battre pour et avec l’Europe. Nous nous en sortons ensemble ou nous disparaîssons. Les droites doivent s’entendre. Avec Nicolas Sarkozy, c’est possible. Si Jean-Marie Le Pen refuse, la gauche gagne. Et après, vous faîtes quoi ? En 2012, il sera trop tard. C’est maintenant qu’il faut du courage.
    [Vous déviez du post. Ceci dit, il me semble que JMLP n’a jamais refusé quoi que ce soit : ce sont les autres partis qui l’ont toujours diabolisé. Voyez l’épisode de 1998. MJ]

  13. Quel passéisme et que de ressentiments parmi nous, l’un rejette l’art contemporain, l’autre pense que tout est perdu, un troisième que c’est Le Pen qui a fait élire Chirac, et non Jospin, un quatrième croit que les idées ne circulent pas, et que seul le locuteur Villiers a créé le vocabulaire de la droite, en répétant cependant ce que dit JM LP, bref c’est la grande désespérance.
    Mais à quoi servent la Foi,l’espérance et la Charité, si ce n’est à croire, voir l’avenir sous le regard de la Providence, et aimer nos contemporains parce qu’ils sont comme nous dans un besoin de certitudes supérieures ?
    A 20 ans, en 1975, je pensais que le communisme risquait de l’emporter, et qu’il fallait se battre, et la Providence a voulu que le Mur tombe. L’art contemporain peut être très beau si on sait chercher les vrais artistes, et la droite n’a pas eu besoin que Villiers chante autrement la chanson de Le Pen pour exister : en 1975, la droite se battait physiquement dans les facs contre les gauchistes, aujourd’hui nos enfants peuvent se consacrer plus pleinement à leur convictions et leur avenir.
    Homofolie généralisée, oui. En 1975, c’était la libération sexuelle venue des campus des USA , qui ne valait guère mieux, et l’exaltation par Cohn Bendit de l’amour envers les enfants.
    Mais maintenant c’est aussi le retour vers la famille, la patrie, la nation (j’aime moins), la renaissance d’une conscience de civilisation européenne, la présence plus forte de Romme et des catholiques dans l’espace public depuis qq années.
    Cessons nos aigreurs et nos querelles : elles sont déjà dépassées. Pour un chrétien, le monde n’est qu’un passage, et Jacques Bainville le disait déjà dans les années 1920, avec beaucoup d’humour : ”Les vieux se répètent et les jeunes n’ont rien à dire. L’ennui est réciproque” ou encore ”Tout a toujours mal marché “.
    Moi j’aime mon époque, parce que j’y vis, puisque Dieu m’y a fait naître. Et si certains contemporains m’affligent de leurs bêtise ou de leurs vices, d’autres me réjouissent de leurs talents, de leur grâce et de leur humanité réussie, et des exemples qu’ils offrent à ceux qui savent les rencontrer.
    J Trémolet a raison, 100 % raison d’espérer dans les signes annonciateurs d’un renouveau de la Tradition catholique, poitique et philosophique : le monde catholique vit une crise terrible, mais le jansénisme et le conservatisme catholiques avaient eux aussi fait des ravages aux XIX et XX. Et la libération sexuelle, l’homofolie et autres folies, nous ont obligé à redécouvrir ce qu’avaient nos ancêtres catholiques d’avant le XVIII ème : le sens du corps, l’incarnation dans la réalité, l’acceptation de la chair. Et à approfondir les fondements de la morale concrète.
    Cela se voit dans l’art contemporain : il recommence à représenter l’homme, à le figurer, et le regarder comme une oeuvre d’art possible.
    Oui, Trémolet ressent bien l’avenir de l’homme français et occidental qui se ré enracine.

  14. Espérer, oui. Croire que c’est déjà gagné ou en passe de l’être, non. Ce n’est certes pas le but de M. Trémolet de démobiliser, mais faire un diagnostic trop optimiste peut mener à de graves désillusions.
    Personne n’a jamais dans ces commentaires nié qu’il existe de très bons artistes aujourd’hui. Simplement ils ne font pas partie du dit “art-contemporain”, ne sont donc que très très rarement subventionnés, les élèves de l’enseignement public ne sont pas invités à les côtoyer, et eux-mêmes se positionnent en refusant très clairement l’autoproclamé “art-contemporain”, nihiliste et anti-art, en fait.
    Peut-être aurais-je dû spécifier ce que je voulais dire par “art contemporain”, mais c’est énervant de devoir répéter une seconde fois la précision.

  15. @ Olivier
    Vous avez raison. Mais cessons de nous retirer du temps présent par le vocabulaire : ces artistes vrais sont aussi contemporains que les nihilistes et subversifs de l’art pompier d’aujourd’hui que l’on trouve souvent dans les FRAC de nos provinces.
    J T. de Villers ne dit pas que la bataille du renouveau est gagnée, mais qu’elle est engagée.
    Le jour où les catholiques exigeront l’application de la DSE, ils obtiendront que le don de libre choix défiscalisé remplace la subvention politisée par l’impôt, pour l’art, la culture en général, et l’enseignement. Ce sera alors une éclosion redevenue possible de réalisations catholiques dans tous les domaines, y compris culturel, comme cela existe déjà aux USA.

  16. A Eric Gaillot
    Accuser JMLP d’avoir amener le gauche en France et de refuser le pouvoir, je pense mon “cher” que vous étiez absent pendant 30 ans ……..
    Quant on veut parler de politique on se renseigne correctement avant, afin de ne pas dire des “âneries”…..
    J’ai compris que vous étiez un sympathisant de Sarko, mais ne dites pas n’importe quoi !!!!
    Comme vous le précise MJ se sont les partis qui ont diabolisé JMLP, aidés par les médias.
    Tous ceux qui ont attaqué JMLP,dont P2V et Sarko chassent maintenant sur ses terres !!!!!

  17. Si on croit que les rpr/ump/udf/mpf sont vraiment la droite, on peut évidemment se demander pourquoi le FN ne fait pas alliance car trop seul il ne peut gagner.Mais ces partis ne représentent pas la vraie France, ils se sont tous compromis peu ou prou avec l’anti fRANCE, ils sont eux aussi la gauche, ils sont la Franc Maçonnerie et ont le soutien des puissances occultes ou connues diverses.C’est donc à tous ceux qui ont compris d’oeuvrer avec le FN mais un Front NATIONAL élargi, efficace, plein d’espérance, actif et très militant, qui s’impliquera dans tous les rouages de la société pour réussir, avec l’aide de Dieu.
    Le Salut viendra des forces du Bien ou ne viendra pas.
    En attendant, réunissons (faute de mieux) nos votes sur LE PEN dimanche.Le résultat est très incertain, n’allons pas vers les traitres ou la fausse droite !

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