Les médias rivalisent d’enthousiasme pour fêter la "Journée de la Femme", demain 8 mars. Ils se garderont peut-être de rappeler que cette journée est l’idée d’une communiste allemande du début du XXe siècle, et que le premier pays à l’avoir instituée est l’Union soviétique de Lénine dès 1921 – la date du 8 mars commémorait une manifestation-clef de la "Révolution de février" en Russie. Les pays de l’Est l’ont "fêtée" une fois sous la coupe soviétique après la Seconde guerre mondiale, et le gouvernement socialo-communiste l’a officialisée en France en 1982.
Dès lors, on se doute qu’il ne s’agit pas, comme lors de la fête des mères, de rassembler les familles, mais de les diviser. Dans Présent de demain, Jeanne Smits montre comment les thèmes de ces journées, d’apparence inoffensifs ("il faut plus de femmes élues", "il faut que les hommes prennent leur part des tâches domestiques") véhiculent en réalité la subversion destructrice :
Il s’agit de gommer les différences, faire accéder la femme à une (fausse) autonomie qui a pour effet de fragiliser la famille et de la réduire, elle, en esclavage.
La journaliste rapporte l’esprit dans lequel des organismes de l’ONU promeuvent cette fête : en particulier dans ce rapport de la Commission de la condition de la femme du 3 mars dernier (extrait, sur les bienfaits des migrations : "Les femmes migrantes, devenant le soutien familial, font changer les sociétés d’origine et les sociétés de destination, même si, dans certains cas, on peut constater que le rôle du mari reste prédominant.")
PS : Vox Galliae marque, à sa manière, cette journée.
Anonyme
à ce sujet, voir le blog de l’association Femme Universelle !
http://femmeuniverselle.hautetfort.com