Gollnisch l’avait clairement analysé. Sarkozy l’a avoué. A l’Assemblée nationale, le 2 mai, le ministre de l’Intérieur a défendu ainsi la notion d’"immigration choisie" :
"Je revendique cette expression, qui n’est pas de moi : c’est celle de la Commission européenne de Bruxelles, laquelle recommande à tous les Etats membres d’avoir une même politique de l’immigration fondée sur l’immigration choisie. (…) Ceux qui condamnent ce terme ne peuvent donc pas se prétendre européens." (source, vers le milieu de page)
Le terme ‘européiste’ aurait été mieux ‘choisi’…
Olivier Arcachon
Si Bruxelles a dit alors … petit doigt sur la couture du pantalon et garde à vous tout le monde. Bref l’argument imparable.
(Tiens j’en connais un autre argument imparable pour faire taire les critiques : “de toutes façons, c’est un facho”.)
Politiquement correcte…