Une étude du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) à paraître au mois d’août dans la revue the Lancet Oncology affirme que les contraceptifs oestroprogestatifs et les traitements hormonaux substitutifs sont des cancérigènes de groupe 1 c’est à dire parmi les substances les plus cancérigènes.
Ces éléments ne sont pas une nouveauté pour les scientifiques, mais sa médiatisation est une chance à saisir pour proposer un autre regard sur la sexualité et la régulation des naissances. Ne laissons pas la parole au seul planning familial qui prône déjà l’utilisation du stérilet à la place de la pilule.