Analyse détaillée sur Zenit. Extrait :
Un […] rapport, publié le 8 janvier, confirmerait l’inefficacité de la pilule du lendemain en termes de réduction du nombre des avortements. Cette étude, diffusée sur le site internet espagnol Forum Libertas analyse ce qui s’est passé en Espagne dès l’introduction du médicament. En l’an 2000, l’année précédant son introduction, le nombre d’avortements s’élevait à 60.000 […].
En 2005 pas moins de 506.000 pilules du lendemain ont été administrées, mais le nombre des avortements enregistrés cette année-là a augmenté jusqu’à 91.000 […].
C’est paradoxal pour certains, mais c’est ainsi : contraception, "contraception d’urgence" (souvent abortive) et avortement ont tendance à augmenter en parallèle. Des exceptions existent, telles certaines anciennes républiques soviétiques, où l’avortement, utilisé comme "contraception", a baissé avec la diffusion de méthodes réellement contraceptives.
Mais rien ne permet d’arguer (comme le fait par exemple M. Sarkozy ici) que c’est en diffusant plus encore la contraception qu’on fera baisser le nombre d’avortements en France.
senex
La prise de “pilule du lendemain” EST un avortement chimique précoce.Avec toutes les conséquences du bouleversement des régulations hormonales en cas de grossesse commencée.On ne joue pas avec ça…
Boris
La pilule, du lendemain ou non, est de nos jour un abortif : les pilules microdosées agissent pour empêcher la nidation du bébé, exactement de la même manière que la pilule du lendemain.
Ce qui n’est pas dit : une femme subissant 15 ans de pilule à toutes les chances de se retrouver ménopauser à l’issu de ces 15 ans. Imaginez une femme de 20 ans qui commence à prendre la pilule et qui l’arrête à 35 ans, elle est ménopausée ! (selon plusieurs témoignages de moniteurs billings qui ont observé ce phénomène)
La pilule peut avoir jusque 4 effets (selon le dosage) dont 2 sont abortifs :
– empêcher la glaire cervicale de laisser passer les spermatozoïdes
– empêcher l’ovulation
– EMPECHER LES MOUVEMENTS DES TROMPES, EMPECHANT LE DEPLACEMENT DU BEBE VERS LE LIEU DE LA NIDATION (abortif car la conception à déjà eu lieu)
– EMPECHER LA NIDATION (abortif car la conception à déjà eu lieu)
La médecine est tellement consciente des problèmes liés aux traitements par hormones que :
– le personnel médical préfère utiliser un stérilet
– les traitements hormonaux des effets de la pré-ménopause sont désormais quasiment interdit
– les pilules sont désormais classées dans la catégorie 1 des éléments cancérigènes