Dixit l’ancien Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin. Autant un catholique peut penser que c’est vrai, quoique la politique ne devrait pas forcément en parler, mais en vivre (cf Deus caritas est), autant il ne faut pas tomber dans le piège de Raffarin et de sa notion de l’amour.
Il ne faut pas oublier en effet qu’il fait partie des hommes politiques qui se sont montrés les plus favorables au lobby gay, le groupuscule gay-lib n’ayant pas hésité à le qualifier de "Premier ministre le plus ‘gay-friendly’ de la Vème République".
“la politique ne parle pas assez d’amour”
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TEQ
Merci à Monsieur le ministre pour sa leçon d’un amour de supermarché, un amour universel bien politiquement correct ou tous les hommes ont un même Dieu, un amour très conjoncturel, bien pauvre, fait de tolérence et de droits des hommes libérés de toute influence divine à la sauce Johnny, un amour basé sur du sable et qui oublie au passage la Liberté et la Vérité.
Que notre ami se mette au travail pour essayer de sauver ce qu’il reste de notre Pays, et avec Rainer Maria Rilke, il pourra chanter:
« Le travail est lui-même amour, infiniment plus d ‘amour que l’individu n ‘en peut susciter en autrui. Il est toutes les espèces d’amour. »
Charles Vaugirard
Raffarin n’est pas à une raffarinade près…
L’amour qu’il sous-entend est en effet plus proche de l’amour fast-food (ou fast-sex)des séries TV que de Deus caritas est. De même que sa philosophie de la vie est plus une positive attitude inspirée de Lorie que d’un art de vivre à la manière des philosophes de l’antiquité.
Raffarin: une icône de notre société décadente.