L’éditorial du site Infoguerre revient sur le "politiquement correct du traitement de l’information" : "Les vœux du Président de la République résonnent dans le vide existentiel d’un peuple qui ne croit plus en lui-même." Nos médias sont "à des années lumières d’une compréhension élémentaire du mot patrie. Une morale post-soixante-huitarde sert de soupe quotidienne à qui veut bien l’entendre. (…) Ce gentil humanisme de façade est sans risque. On ne sanctionne plus la démagogie depuis longtemps sur les ondes nationales. (…) Nous nageons dans l’encéphalogramme plat des Français qui s’inventent des causes faciles. (…) Une France lobotomisée au point de fuir rouge de honte la commémoration d’Austerlitz.
A entendre nos médias, "la France se détourne pudiquement de l’idée de puissance. La puissance, c’est le mal absolu. Le problème dans cette analyse implacable est que dans les trois quarts des pays du monde, au Nord comme au Sud, la recherche de puissance est la condition sine qua pour ne pas subir la loi du plus fort. Mais qu’à cela ne tienne, il semble plus payant électoralement de parler le langage des gentils en agitant le flambeau flétri du siècle des Lumières. A ce stade de l’hypocrisie, il est devenu facile de masquer les réalités. 200 voitures brûlées chaque nuit, c’est une statistique à taire. Rongés par leurs ambitions personnelles, les politiciens ne comprennent pas que c’est leur légitimité qui brûle un peu plus chaque jour."
"L’une des principales raisons de la mort de l’empire romain d’Occident est la lutte fratricide que se livrèrent les prétendants au trône. Les frontières étaient d’autant moins défendables que les élites romaines se déchiraient entre elles parce qu’il n’y avait plus rien d’autre à conquérir que le pouvoir. La France n’est pas Rome mais elle en peut en devenir une caricature a posteriori."
Baizeau
“L’une des principales raisons de la mort de l’empire romain d’Occident est la lutte fratricide que se livrèrent les prétendants au trône. Les frontières étaient d’autant moins défendables que les élites romaines se déchiraient entre elles parce qu’il n’y avait plus rien d’autre à conquérir que le pouvoir. La France n’est pas Rome mais elle en peut en devenir une caricature a posteriori.” C’est déjà fait, grâce à la démocratie. Il suffit de regarder l’Etat de la France et de le comparer à ce qu’il était jadis ( inassimilation des immigrés africains, perte de rayonnement international, perte de notre Empire, faillite démographique, désunion nationale, faillite financière…..)