Trente-six nations affirment actuellement par écrit qu'”il n’existe pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation pour les États de financer ou de faciliter l’avortement”.
Les sénateurs républicains exhortent le président guatémaltèque Bernardo Arévalo à rester ferme face aux efforts de l’administration Biden pour faire pression sur lui afin qu’il retire son soutien à une déclaration affirmant qu’il n’existe pas de droit à l’avortement. Signée par 36 nations, la déclaration du consensus de Genève affirme que “tout être humain a un droit inhérent à la vie”, qu'”en aucun cas l’avortement ne doit être encouragé comme méthode de planification familiale”, que “toute mesure ou modification relative à l’avortement dans le système de santé ne peut être déterminée qu’au niveau national ou local selon le processus législatif national”, que “l’enfant… a besoin de garanties et de soins particuliers… avant comme après la naissance”. Les signataires affirment qu’
“il n’existe pas de droit international à l’avortement, ni d’obligation pour les États de financer ou de faciliter l’avortement, conformément au consensus international de longue date selon lequel chaque nation a le droit souverain de mettre en œuvre des programmes et des activités conformes à ses lois et à ses politiques”.
Le président Joe Biden a retiré les États-Unis de la déclaration quelques jours après son entrée en fonction, dans le cadre de ses efforts continus pour promouvoir l’avortement sur demande dans le monde entier.
Le Centre pour la famille et les droits de l’homme (C-FAM) a rapporté que l’administration Biden utilise l’examen périodique universel du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies pour inciter les pays à se retirer de la déclaration.
Michel
Qu’attend donc François pour excommunier Biden ? S’il ne fait rien, c’est qu’il est complice…
Meltoisan
Il n’a pas le temps : Il est très occupé à bénir les homosexuels.
Irishman
Et à accueillir des migrants qui ne nous aiment pas !