Lu sur IFN :
“La secrétaire d’État adjointe Wendy R. Sherman a rencontré aujourd’hui à Washington la directrice exécutive du Fonds des Nations Unies pour la population (FNUAP), le Dr Natalia Kanem. La secrétaire adjointe Sherman et le Dr Kanem ont discuté de la manière dont l’émancipation des femmes et des filles, notamment la promotion de la santé et des droits sexuels et reproductifs, favorise les droits de l’homme, l’égalité des sexes et la santé mondiale, ainsi que de l’importance de la prévention des agressions et des violences sexuelles. Le secrétaire adjoint Sherman a ensuite annoncé une contribution initiale de 5 millions de dollars des États-Unis d’Amérique aux fournitures de l’UNFPA, qui contribuera à garantir que des systèmes contraceptifs modernes et des médicaments vitaux pour la santé maternelle atteignent les femmes et les adolescentes qui ont besoin de planification familiale et de naissances sans risque, dans les pays touchés par des urgences humanitaires”.
Cette annonce, faite en des termes “attribuables au porte-parole, Ned Price”, est apparue le 1er novembre sur le site web du département d’État, organe politique et institutionnel parfois et dans certains dossiers plus influent que la Maison Blanche elle-même.
En d’autres termes, l’émancipation des femmes et des adolescents passe par la contraception et l’avortement, qui sont des droits humains inaliénables (“la santé et les droits sexuels et reproductifs […] font progresser[…] les droits humains“). Ainsi, le pays le plus puissant du monde a décidé de détourner 5 millions de dollars des poches des contribuables américains, donc des besoins du peuple américain pour répandre la contraception et l’avortement dans le monde. En d’autres termes, la solution de l’administration Biden et du FNUAP pour faire face aux urgences humanitaires est de prendre des vies innocentes et d’empêcher qu’il y en ait davantage, au nom d’une nécessité indispensable qu’ils appellent un“besoin“.