Le président des Etats-Unis a solennellement signé le 11 décembre la loi qualifiant de « génocide » les crimes perpétrés au cours de ces dernières années par les groupes islamistes contre les chrétiens d’Irak et de Syrie :
Le texte ratifié par Donald Trump est intitulé Iraq and Syria Genocide Relief and Accountability Act of 2018. Il engage l’administration américaine à fournir une assistance humanitaire aux communautés victimes des persécutions en Irak et en Syrie, et à poursuivre les responsables de telles exactions.
Lors de la signature dans le Bureau ovale, plusieurs personnalités étaient présentes aux côtés du chef de l’Etat américain : l’archevêque chaldéen d’Erbil, Mgr Bashar Warda, le supérieur des Chevaliers de Colomb, Carl Anderson, l’ambassadrice des Etats-Unis près le Saint-Siège, Callista Gingrich, et Mgr Timothy Broglio, archevêque ordinaire militaire pour les Etats-Unis d’Amérique.
La Chambre des représentants avait déjà, le 27 septembre dernier, approuvé à l’unanimité le projet de loi qui avait auparavant reçu un même soutien de la part du Sénat.
Dorénavant, comme le commande la Constitution américaine, le Président est tenu d’évaluer « toutes les mesures qui peuvent être prises afin que les auteurs présumés de génocide soient traduits devant la justice pour répondre de leurs crimes, devant un tribunal compétent ».
A.MOR
Auront-ils le courage d’aller jusqu’au bout, mettant en cause la responsabilité d’Israël dans cette affaire, soutien des jihadistes ?
Ici des articles en ont attesté, comme celui de Monsieur Lacoste, sur un incident avec les druzes, lequel a permis de mettre sur le devant de la scène la duplicité d’Israël vis-à-vis des chrétiens dans cette région.
Cet état n’est pas à un mensonge près jouissant d’une impunité générale.
philippe paternot
trimp reconnait la réalité, reste aux monsignori ouest européens d’ouvrir les yeux et de réagir, mais le coeur des chrétiens d’orient qui subissent des génocides lents, doit saigner de constater combien ils sont abandonnés par leurs pairs