Vincent Gilles, le président du syndicat de police belge SLFP, déclare :
« Mes collègues sont formels : dans le personnel bagagiste, pas mal d'agents ont acclamé les attentats (de novembre) de Paris »
Plusieurs membres du personnel ont un passé judiciaire lourd, « souvent pour des faits criminels graves».
Une source policière avance le chiffre de « cinquante sympathisants de l'État islamique […] disposant d'un badge de sécurité ».
Pour le syndicat SLFP, « il est évident que les terroristes ont bénéficié de l'aide de personnes qui ont fait du repérage avant de passer à l'action ».