Minute estime que le coup vient de la "droite" :
"[…] Au soir du 6 mai 2012, date de la victoire de François Hollande, Patrick Buisson avait été relativement épargné par les NKM et autres Raffarin. Il était difficile de tirer sur l’homme qui, face au désastre annoncé, avait réussi à « limiter la casse ». 48,5 % pour Nicolas Sarkozy, par rapport à ce qui avait été promis, c’était de l’ordre du miracle ! Mais les chiraquiens et autres centristes, qu’on croyait à terre, n’ont pas désarmé. Ils n’avaient qu’un but: stopper la droitisation de Nicolas Sarkozy et obliger celui-ci à se séparer de son conseiller qui avait eu, de plus, la regrettable idée de permettre à Jean-François Copé de s’emparer de la présidence de l’UMP au détriment de leur candidat: François Fillon, quel qu’ait été leur choix officiel à l’époque, et de faire de La Droite forte le premier courant de l’UMP. Ils n’attendaient que l’occasion. Carla peut être rassurée. Le recentrage de Nicolas Sar kozy avance à grands pas."