Article de 20Minutes du 27 octobre ayant provoqué tellement d’indignations que le quotidien en a modifié son illustration :
Article du Télégramme de ce jour :
Le tout couronné par une dépêche de l’AFP, qui omet de mentionner l’islam (à deux jours de la manifestation islamiste, ce serait prendre des risques inutiles…) :
Le fait religieux s’est affirmé en entreprise ces dernières années, sans remettre en cause dans la majorité des cas l’organisation du travail, une minorité de situations restant cependant problématiques, selon une étude publiée jeudi par l’Institut Montaigne.
«Depuis la première enquête de 2013, la présence du fait religieux dans les entreprises françaises s’est affirmée», indique le baromètre réalisé par Lionel Honoré, professeur des universités à l’Institut d’administration des entreprises de Brest et directeur de l’Observatoire du fait religieux en entreprise. Il évoque dans cette étude la «banalisation» du fait religieux en entreprise, rencontré en 2019 par 70% des répondants, qui sont des cadres et managers.
Les faits les plus courants concernent le temps de travail (absences, aménagements des horaires, planning des vacances…) ou le port de signes religieux ostentatoires, relève le baromètre, soit des situations qui «ne remettent pas en cause directement l’organisation du travail et son fonctionnement».
Contrairement à d’autres faits religieux observés beaucoup plus rarement au travail par les répondants, tels que les prières pendant le temps de travail (7%), le refus de travailler avec des femmes (6%), d’être managé par des femmes (2%) ou de leur serrer la main (5%), ou encore le refus de travailler avec des personnes qui ne soient pas des coreligionnaires (1%).
«Les salariés savent de mieux en mieux adapter leur pratique religieuse aux contraintes et exigences du fonctionnement de l’organisation», d’après l’étude. D’ailleurs, l’impact du fait religieux sur les relations entre collègues n’est pas perçu comme négatif par plus des trois quarts des personnes interrogées, même s’il reste un sujet délicat à aborder pour la moitié des répondants.
«Quant aux managers, ils ont davantage de repères et d’outils pour gérer au mieux ces situations», relève l’étude, qui regrette néanmoins que l’encadrement de proximité, en première ligne, soit «trop souvent esseulé». Seule «une minorité de situations restent réellement problématiques et sont le creuset des dysfonctionnements et des dérives», selon le baromètre.
Au pays de l’allahicité, les dhimmis sont rois.