C’est une conséquence prévisible du projet de loi Gaillot, étendant le délai légal d’avortement de 12 à 14 semaines : de nombreux médecins, pourtant favorables à l’avortement, sont prêts à y renoncer.
Philippe Hannequart, médecin généraliste de longue date installé à Jeumont (59), pratiquant l’assassinat d’enfants à naître, craint un «effet contre-productif», dans un contexte de désertification médicale :
«Un allongement du délai demanderait davantage de médecins, ce que nous n’avons déjà pas en nombre suffisant. Je sais que si la proposition était adoptée, certains confrères pourtant investis feraient aussi valoir leur droit de retrait. À quatorze semaines de grossesse, au-delà des risques pour la patiente, une IVG peut sembler insoutenable pour certains médecins.»
VIVANT
Cette phrase me fait toujours penser à un oxymore comme l’est ‘obscure clarté’ : « de nombreux médecins, pourtant favorables à l’avortement ». Hannequart, un nom à retenir ! Ouah : « une IVG peut sembler insoutenable pour certains médecins ». Pourquoi appeler ‘médecins’ alors que ce sont des criminels ? Pourquoi dire ‘jeunes’ pour désigner des délinquants ? Cette novlangue matérialiste sert à cacher la vie dans un faux réel délirant et mensonger. Une seule réponse en Avent : Jésus est le nom propre de Dieu. Et que dire de tous ces ‘médecins’ qui piquent en masse les français avec un produit sans AMM définitive et sans consentement éclairé du piqousé devenu toxico. ‘5 doses’ envisage Véran-Diafoirus. Le scandale vu par Le Nom est cette perte de conscience des diplômés d’Etat en médecine. C’est la sécu qui les paie !