Autre extrait de la lettre pastorale de Mgr Ravel, évêque aux Armées :
une certitude habite le coeur du chrétien : parmi les hommes rapprochés par les circonstances de la vie, ceux qui forment avec lui sa nation -pour nous la France-, ceux-là occupent dans son coeur une place privilégiée […] l’affirmation que «la loi naturelle nous ordonne d’aimer de prédilection et de dévouement le pays où nous sommes nés et où nous avons été élevés.» [Léon XIII, Sapientiae christianae] L’insistance porte ici sur le mot «prédilection» : «oui, elle est digne, non seulement d’amour, mais de prédilection, la patrie, … cette terre commune où vous avez votre berceau.»[Saint Pie X]
Plus que tout autre, le fidèle catholique a pour mission de chercher, de connaître puis de construire un tissu de relations vivantes et vitales avec tous ses concitoyens pris dans leur diversité même : « Il existe un ordre établi par Dieu selon lequel il faut porter un amour plus intense et faire du bien de préférence à ceux à qui l’on est uni par des liens spéciaux. Le Divin maître Lui-même donna l’exemple de cette préférence envers sa terre et sa patrie en pleurant sur l’imminente destruction de la Cité sainte. » [Pie XII, Summi pontificatus]
Or, une nation n’est pas une idée, et pas plus un ensemble de valeurs ; mais elle se dresse dans sa beauté et sa grandeur à travers la droiture de personnes imprégnées d’une culture, d’un pays et d’une histoire. Une nation existe d’abord d’une communauté de personnes tissée par une culture commune. En quoi notre attachement à notre patrie passe d’abord et surtout par la fraternité établie entre nous, fils et filles d’une même nation. Seule une fraternité éclose en solidarité, et une solidarité comprise comme une communauté de destin, donne une âme vivante et forme un corps concret à la réalité qu’est la France."
François
Et qu’est-ce que la patrie? La terre des pères? Mais alors ce n’est pas forcemment la Nation française qui est, avant tout, une invention de 1789 et des années qui ont suivies. J’aime la terre de France et particulièrement les terres de mon enfance et de mes pères. La Nation je ne sais pas très bien ce que c’est
m
Et quand la même terre est revendiquée par des hommes qui n’ont pas la même parentèle?
Droit du plus ancien sur cette portion de terre qu’il aime pourtant de tout son coeur (ou l’idée qui lui en reste reste de cette terre car cela fait longtemps qu’il ne la foule plus, ni ne la cultive, ni peut en vivre)ou droit du plus grand nombre et d’installation plus récente?
Malheur à ceux qui n’ont pas su préserver leurs descendances et aux élites qui n’ont pas voulu voir le danger…
KNOTYS SEUTON!
La nation est une belle chose qui n’avait aucune raison d’être, (sauf la raison de cristaliser contre les anciennes notions d’ordre) la patrie est une vraie notion qui à un sens une transcendance; la terre des pères et des enfants.
Une chose sacrée, dans le sens de chose appartenant en propres aux familles de FRANCE, en l’occurrence, je parlera de la FRANCE.
Parlons de l’état, voila pareillement qu’un organe se prend pour le peuple. Il ne peut mais crise d’identité oblige, L EXECUTIF EST LE PEUPLE, et le vrai peuple n’est plus rien, variable d’ajustement pour les chiffres du chomage… Quand la grenouille se fait plus grosse que le boeuf !
Parions que les prochaines et les suivantes élections, votations ne voient aucun champion du plein emploi pour le petit peuple (peuple d’en bas ..) de FRANCE.
Le plein emploi du peuple de France dans les frontières historiques de ce pays. C’est possible. Cela fût fait, cela pourra être fait à nouveau. Otez vos mains de ma poche portefeuille SVP. Laissez nnous libre de bâtir un avenir dans le progrès social et humain.
Rappellez vous.
Aucun probleme ne resiste à une absence durable de solution, dixit un expremier ministre et président de la République FRANCAISE.
KNOTYS SEUTON
P.R.
La nation n’est en rien une invention de la Révolution. Il faut lire le livre de Colette Beaune : naissance de la nation France. Par contre, la monarchie à la fin de l’ancien régime n’a plus su incarner la nation, alors que ce concept aurait pu être utilisé au service du trône et de l’autel comme en Russie ou dans d’autres pays. La révolution a pu aisément reprendre le concept.
Bergstein
Perso, je suis français, et je ne suis pas (mais pas du tout !) fils d’une nation.
Je suis fils de Dieu, fils de mes parents, fils de l’Eglise, point barre.
Tout le reste n’est qu’idéologie détestable.
KNOTYS SEUTON!
POUR LE PLEIN EMPLOI !
Historiquement : il fût un temps où certains parlaient fort à propos de “nations” amérindiennes, comme conglomérat de peuples NON civilisés et qui n’avaient pas de constitutions, il serait bon de rappeller que la constitution n’est en rien l invention de la republique. AU CONTRAIRE !
Ceci dit et bien dit. Il importe de bien comprendre où se situait le fil du rasoir entre promoteurs de Nation et les tenants de PATRIE.
Les tenants de PATRIE ont mieux compris où devait se placer le fil de ce rasoir.
Juste une petit évolution S.V.P. Dutravail et des salaires dignes des être humains.
On a qu’une seule vie QUE DIABLE !
KNOTYS SEUTON