Mathieu Detchessahar, agrégé des universités, est interrogé dans Permanences sur la nation. Extraits :
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Laguérie
Hélas, je crois que le recours à Jean-Paul II pour venir en défense du droit des nations à l’existence a des limites. Si JP II était un ardent défenseur du droit des nations à leur culture propre, cette culture n’incluait jamais selon lui une dimension politique. Il va même dans Ecclesia in Europa jusqu’à acter la disparition des frontières : ” Désormais, nous vivons dans un monde sans frontières… “. Or une culture que ne protège ni ne défend une politique est tôt ou tard vouée à disparaître. Une politique qui n’a pas de frontières, c’est du mondialisme sans le nom.