Le substitut de la Secrétairerie d'État, Mgr Angelo Becciu, déclare au journal de la Conférence épiscopale italienne Avvenire.
« La phrase du Pape s'entend dans le sens que l'acte procréateur de l'homme ne peut suivre la logique de l'instinct des animaux, mais doit provenir d'un acte responsable qui a sa racine dans l'amour et le don réciproque de soi […] [E]n aucune façon le Pape a voulu indiquer le nombre de trois enfants par famille comme le "bon nombre " pour tous les mariages. Chaque couple catholique, à la lumière de la grâce, est appelé à discerner, en fonction d'une série de circonstances humaines et divines, quel est le nombre d'enfants qu'il devrait avoir ».
« Le Pape est réellement contrarié que ses propos aient provoqué une telle confusion ». « Il ne voulait en aucune manière sous-estimer la beauté et la valeur des familles nombreuses ».