Jean-Michel Demetz, journaliste à l'Express, décrit la violence du cyclone Yasi, qui a frappé la côte du Queensland (Australie). Extrait :
"Les petites villes de Mission Beach semblent avoir été les plus meurtries par le cyclone Yasi. Le maire de Cassowary Coast, une bourgade de la région de Tully, sorti durant l'accalmie qui accompagne le passage de l'oeil du cyclone, a aperçu "des scènes de destruction massives": toitures envolées, maisons éventrées, arbres disparus, emportés comme des foetus."
A moins que ce ne soit pas un lapsus : le journaliste fait alors une métaphore avec un médecin fou arrachant des bébés du ventre de leurs mères. Une scène de destruction massive.
Addendum 03/02 : c'était un lapsus. Il a été corrigé.
Sancenay
il arrive, fût-ce par lapsus, que la diable porte pierre!…
Ghalloun
La société porte le poids inouï de ce génocide, et d’autant plus, même, qu’elle l’ignore. Ce journaliste a juste fait soupape de sécurité. Saura-t-il comprendre la raison profonde de son lapsus?