Suite à la décision du Conseil d‘État concernant CNews, le président du Rassemblement national Jordan Bardella interpelle l’Arcom. Il explique dans le JDD :
[…] Si ce contrôle renforcé est exercé sur CNews, il doit aussi l’être pour le service public. On ne peut pas imposer un contrôle strict à une chaîne privée, et dans le même temps laisser le service public dans un entre-soi permanent qu’aujourd’hui personne ne peut contester. L’Arcom doit mettre fin à l’entre-soi du service public.
Chaque jour, les antennes de l’audiovisuel public, télé et radio, diffusent des programmes sans aucune forme de pluralisme, et cela n’inquiète personne. Pire, certaines émissions font du combat politique leur leitmotiv avec l’argent des contribuables, et ce même en période d’élections, se jouant de toutes les règles électorales et déontologiques. […]
Aujourd’hui, il y a une hypocrisie totale. Il y a un manque de pluralisme toléré, celui des rédactions et des programmes composés de toutes les nuances de gauche, du rose pâle, au rouge en passant par le vert, sur le service public notamment. Et une accusation de manque de pluralisme dès que cet entre-soi n’a plus l’exclusivité de la parole dans une rédaction ou un programme : dès que la gauche, minoritaire dans le peuple mais majoritaire dans les rédactions, n’a plus le monopole de l’information, elle cherche à censurer, à diaboliser, à bâillonner. Il y en a assez de ces vigies du politiquement correct qui veulent faire taire toute voix dissonante. Le règne de la pensée unique, c’est fini. S’il doit y avoir une nouvelle régulation, posons tout sur la table, et regardons dans quels médias le pluralisme est réel. […]
ExtraEcclesiamnullasalus
La gauche haineuse, totalitaire et génocidaire, a depuis très longtemps accompli et, malheureusement, réussi sa “longue marche à travers les institutions”.
Tous les rouages de l’Etat ont été profondément et très durablement, infiltrés par cette gauche émétique et viscéralement intolérante : la politique, la justice, les médias, les arts, les syndicats, les associations, l’Education nationale et, de plus en plus, la police, la gendarmerie et l’armée. La palme de l’infiltration rouge revenant, sans aucun doute possible, aux arts, aux syndicats, aux médias ainsi qu’à l’Education nationale, véritables bastions du gauchisme liberticide, haineux, intolérant, hypocrite, menteur, voleur, parasitaire et assassin.
Pour tout observateur lucide, ce n’était qu’une question de temps et de circonstances favorables, pour que cette gauche pestilentielle, au lieu d’avancer masquée, comme elle l’a toujours fait, ne le fasse dorénavant à visage découvert, sans aucune vergogne, sans état d’âme. Pourquoi ? Parce que cette même gauche, repoussante de laideur idéologique, a maintenant investi suffisamment massivement tous les organes et toutes les institutions de la vie publique française et européenne, qu’elle se moque complètement de savoir si ses propos et actions se situent encore dans un cadre juridique légal et constitutionnel. La gauche meurtrière détient désormais le monopole du pouvoir, et nous en subissons quotidiennement les conséquences morbides.
Cela se traduit notamment par l’un des plus grands scandales politiques contemporains de la France et de l’UE scélérate : la représentation parlementaire de l’idéologie communiste génocidaire. Le communisme, fléau politique totalitaire et hypermeurtrier du 20ème siècle, qui a fait, au bas mot, près de 100 millions de victimes (!), soit bien davantage que le hitlérisme honni, est autorisé, en toute légalité, à posséder une délégation parlementaire à l’Assemblée nationale ainsi qu’au Sénat, et pour la toute première fois seulement, depuis les dernières élections européennes de 2019, les assassins de masse du PCF, n’ont pu envoyer de représentant au parlement de l’U.E. Le PCF, héritier politique d’une idéologie génocidaire, pire que le nazisme, au lieu d’être formellement interdit, au même titre que son idéologie sœur, le nazisme, est autorisé à faire élire et à envoyer à l’Assemblée nationale et au Sénat, ses représentants. Au lieu de croupir en prison pour défense d’une idéologie politique, coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité absolument effroyables, au même titre que le nazisme, les représentants du PCF meurtrier ont été intégrés dans le groupe d’extrême-gauche fanatiquement sectaire et destructeur haineux de la société française, de la NUPES.
Le pluralisme politique dans les médias français publics, est une immense supercherie, une imposture monumentale dévergondée, la manipulation informationnelle du siècle, et les gauchistes le savent pertinemment bien. Avoir l’effronterie de reprocher à CNews de manquer à son devoir de pluralisme politique, tout en occultant le gigantesque mépris pour et l’absence totale de ce même pluralisme sur toutes les chaînes publiques françaises, sans la moindre exception, est caractéristique de la mainmise absolue, de cette gauche profondément liberticide et manipulatrice, sur toutes les institutions publiques en France.