Lors de son procès, il a reconnu avoir menti sur ses traumatismes au Rwanda, n’avoir pas été torturé et ne pas avoir vu son père assassiné.
Emmanuel Abayisenga ne veut pas parler de son passé, avant son arrivée en France, ni de son trajet pour arriver sur le territoire. Il n'aurait finalement pas été torturé au Rwanda. Il aurait tout inventé pour obtenir des papiers qu'il n'a jamais eu. #Nantes
— Farah Sadallah (@Farahsadallah) March 29, 2023
Emmanuel Abayisenga, alors bénévole du diocèse, avait reconnu avoir mis le feu au sein de la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul le 18 juillet 2020. Il avait expliqué avoir subi une agression en 2018 en sortant de la cathédrale. L’homme avait effectué plusieurs demandes de régularisation, soutenues par le diocèse, qui n’avaient pas abouti. Emmanuel Abayisenga avait reçu une obligation de quitter le territoire français (OQTF) en novembre 2019.
Emmanuel Abayisenga a été libéré sous contrôle judiciaire début juin 2021. Il a trouvé accueil dans la communauté religieuse des Monfortains à Saint-Laurent-sur-Sèvre, dans l’attente de son procès. Puis il a tué le père Maire qui l’avait accueilli, et, en quelque sorte, jouait un rôle de tuteur.
Meltoisan
Ce qu’il peut faire, c’est avouer qu’il a menti, se convertir vraiment, purger sa peine, retourner au Rwanda, y faire le bien et propager la foi chrétienne, la religion catholique, enfin, ce qu’il en connaît et mourir en martyr.
Faliocha
Ce que nous devrions faire, c’est de ressortir la guillotine ou un peloton d’exécution.
christianlair
Entièrement d’accord avec vous ! ! ! !
christianlair
Oui , mais ce genre de conduite n’existe que dans les beaux romans , hélas ! ! !
Prout
surtout de la cathédrale cathédrale