Donc c’est possible, même dans l’Union européenne.
Le nouveau gouvernement autrichien a annoncé mercredi 26 mars son intention de mettre fin au regroupement familial des réfugiés, pour «protéger» le pays face à l’afflux de ces dernières années, une première dans l’UE. Un décret va être publié et «d’ici mai, dans quelques semaines à peine, cet arrêt deviendra réalité», a déclaré le ministre de l’Intégration Claudia Plakolm.
«La probabilité d’une intégration réussie diminue à chaque nouvelle arrivée».
De nombreux réfugiés ont du mal à apprendre l’allemand, à trouver un travail et une place dans les écoles.
Cette mesure, en vigueur pour six mois dans un premier temps, pourra être prolongée jusqu’en mai 2027.
En 2023, les réfugiés étaient près de 9300 et l’an dernier 7800 dans un pays de 9,2 millions d’habitants. L’écrasante majorité vient de Syrie.
AFumey
Est-ce bien? mal?
Vu d’ici avec notre “immigration” essentiellement islamiste (tout rapprochement éventuel avec les Huns et Attila, version lente et diffuse, serait naturellement l’effet d’un hasard ‘condamnable’) cela parait une expérience à examiner de près.
Mais en provenance de Syrie où les persécutés sont essentiellement chrétiens, il faut sans doute voir de plus près. En sachant que les ‘réfugiés’ ne sont pas nécessairement persécutés, ni même chrétiens.
Collapsus
Ce décret sera à coup sûr retoqué par cette bonne CEDH qui veille au bien-être de ses immigrés.