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5 commentaires

1. 

   piques-à-sots 19 juillet 2013, 12 h 16 min

   La “femen” se voit timbrée (nous le savions déjà) exigeons pour les “homen” …l’affranchissement!

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2. 

   Jean Theis 19 juillet 2013, 15 h 21 min

   Faits & documents nous apprend que Nicolas Bernard-Buss était si surveillé que 48 h avant son arrestation son appartement avait été mis à sac, ordinateur, téléphones portables et divers documents volés.
   Mais à l’instar des barbouzes, aucun objet de valeur n’a été dérobé.

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3. 

   jacky.a 19 juillet 2013, 16 h 01 min

   @Jean Theis
   « Faits & documents nous apprend que Nicolas Bernard-Buss était si surveillé que 48 h avant son arrestation son appartement avait été mis à sac, ordinateur, téléphones portables et divers documents volés. »
   En hollandie c’est cela la démocratie…
   Staline avait un ministre de l’intérieur…
   Lavrenti Pavlovitch Beria….
   « Dans la bande dessinée Paris, secteur soviétique de la série chronique Jour J, Lavrenti Beria est l’un des protagonistes de l’histoire, mettant notamment en avant son penchant pour les viols, mais cette fois-ci dans la capitale française.»
   Hollandouille a un ministre de l’Intérieur…
   Manuel Carlos Valls…
   Dans la capitale française…
   il fait gazer les enfants…mettre à sac….voler… la propriété du privé.
   Pour le reste…une loi va sortir…la liberté d’expression…bannie !
   J’en profite …elle n’est pas encore votée…

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4. 

   jacky.a 19 juillet 2013, 18 h 00 min

   A Ossip Mandelstam, contre la barbarie,
   Un peu de son texte, très peu de ma plume,
   Aux manifs, aux Veilleurs, aux Hommen,
   Au courage, pour notre démocratie.
   Nous vivons sans sentir sous nos pieds le pays,
   Nos paroles à dix pas ne sont même plus ouïes,
   Et là où s’engage un début d’entretien,
   Là on se rappelle le 24, traités comme des chiens,
   C’était des enfants! On les a gazés!
   Mai, ne détourne pas ton regard,
   Le 26, l’innocence humiliée,
   Elle se trouve condamner, la cellule assurée,
   Une bande de chefs au cou grêle tourne autour de lui,
   De la Valls de ces ombres d’humains, il se réjouit.
   L’un siffle, l’autre miaule, un autre gémit,
   Il n’y a que lui qui désigne et punit.
   As-tu vu hier l’ombre des catacombes,
   Sur la place des Piques devenue Vendôme,
   L’espoir debout en veille d’une jeunesse de fronde,
   Faire face par son silence à une loi moribonde.
   De décret en décret, comme des fers, il forge
   Pour lui, ce qui n’est pas votation, est une fête,
   Sa conscience confisquée réveille son masque blanc,
   cette poitrine de l’Hommen qui lui crie à tue-tête.
   Démocratie. »

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5. 

   Mu 19 juillet 2013, 18 h 11 min

   Pour la presentatrice du JT, lesprevenus sont des “”hommes”,et non des “jeunes”, contrairement aux agresseurs du Trocadero ou aux charognards de Bretigny… Pourtant, ces hommen sont objectivement des jeunes …

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