Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Le British Journal of Psichiatry, cité par le Daily Telegraph, affirme que les femmes qui subissent un avortement courent un risque près de deux fois plus élevé que la moyenne de souffrir de problèmes psychiatriques, et qu'un cas de maladie mentale sur dix résulte « directement » d'un avortement. Cette étude publiée par un journal bien en cour porte la signature de l'universitaire américaine Priscilla Coleman et complète une étude réalisée il y a trois ans qui avait mis en doute l'affirmation des partisans de l'avortement selon laquelle l'avortement permettait de réduire plutôt d'aggraver les risques pour la santé des femmes. Il ne s'agit pas d'un sondage mais de l'analyse des résultats de 22 enquêtes qui ont porté sur l'expérience effective de 877.000 femmes, parmi lesquelles 163.831 avaient subi un avortement."
senex
Un avortement,c’est comme un coup de marteau sur votre disque dur…
lebourg
lebourg A transmettre à Simone Veil.
l'aristo
Ce n’est point dans les grands médias du 20H de TF1 ou FR2 que l’on entendrait cela mais l’omerta…
lève-toi
Il y a plus de vingt ans que des médecins le signalaient, l’un deux après fait un avortement suite aux exigences d’une femme, la revit quelques années après, elle venait lui reprocher de l’avoir écoutée.
La confession, mesdames ( et messieurs complices) est le seul vrai remède efficace. Dieu seul sait redonner la paix à une âme.