Cette semaine, le Conseil des ministres du Gabon a validé un décret autorisant l’avortement pour les femmes « en situation de détresse ». Désormais, l’avortement est autorisé en cas de danger pour la vie de la femme enceinte, d’inceste, de viol ou de risques de malformations « notoires et incurables » du fœtus.
A l’heure actuelle l’avortement est interdit et les médecins qui le pratiquent peuvent se voir retirer leur diplôme professionnel ou infliger une peine de prison. Les structures peuvent également être contraintes de fermer.