Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Une étude menée en Angleterre révèle que les femmes qui ont subi un avortement, loin de préférer l'avortement « médical », réputé plus « sûr » et moins stressant, font part de davantage de problèmes médicaux et de plus de problèmes psychiques après avoir avoir avalé les comprimés et ressenti le passage de leur enfant mort."