Les femmes ayant avorté ont un risque de développer des troubles d’ordre mental tels que la dépression ou l’anxiété, selon une étude Néo-Zélandaise (v.o.). Les chercheurs, qui écrivent dans la revue scientifique anglo-saxonne de haut niveau British Journal of Psychiatry, disent être «à mi-chemin» des positions des pro-vie et des pro-choix.
Ils ont étudié les désordres mentaux de plus de 500 femmes entre 15 et 30 ans. L’étude a montré que les femmes ayant subi un ou des avortement(s) présentaient un taux de désordres mentaux 30% plus élevé. Au contraire, aucun autre type de grossesse (même les grossesse avec fausses couches) n’a présenté de lien avec des troubles d’ordre mental. Ces chercheurs ont estimé que l’avortement est responsable de 1,5% à 5,5% de l’ensemble des maladies mentale du groupe de femmes.
malba
C’est tellement vrai, mais si peu politiquement correct….
Pierre
C’est normal: il y a une causalité entre le mal et la maladie.
Le péché créé la maladie.
jean
Il me semble que NSJC a expliqué dans l’Evangile – l’aveugle né – que son infirmité n’était due ni à ses péchés ni à ceux de ses parents.
Je ne crois pas que la cause à effet soit si rapide et si automatique.
Qu’en pense le SB ?
Martin
Nous vivons tout de même une époque formidable, époque à laquelle il faut des équipes de chercheurs aussi diplômés que subventionnés pour enfoncer de telles portes ouvertes.
La seule chose qui me semble étonnante dans cette étude, c’est que des gens semble-t-il équipés d’un cerveau puissent se définir comme “à mi-chemin” entre pro-vie et pro-mort. Où se trouve donc cet endroit, quelqu’un peut-il clarifier ?
Martin