Une jeune mère regrette que ni le Planning familial ni le personnel hospitalier ne l'aient vraiment accompagné :
"On ne m'a pas dit lorsque j'ai choisi la méthode médicamenteuse que je perdrai des poches de sang, que je verrai le fœtus et que j'aurai des contractions. […] J'ai perdu beaucoup de sang lors de l'avortement. Pendant un mois, mon corps était juste destiné à expulser cet œuf, et je ne me sentais même plus femme. Dans les semaines qui ont suivi, lorsque mon copain me touchait, je ne voulais pas en entendre parler. Aujourd'hui, on recommence à avoir une vie intime. Mais ma libido a beaucoup baissé."
Elle a bien rencontré une psychologue avant la prise des médicaments, mais leur entretien n'a porté que sur les moyens de contraception. Rien sur les conséquences psychologiques de l'avortement.
Sophie Eyraud, médecin généraliste et co-présidente de l'Association nationale des centres d'interruption de grossesse et de contraception (ANCIC), explique :
« On a l'impression que l'on va prendre des médicaments et que pouf ! C'est comme prendre un cachet d'aspirine. Or cela provoque une fausse couche. Et puis c'est long, ça dure quatre jours en tout. »
Pour briser l'omerta sur ce grave sujet, soyez nombreux le 22 janvier à Paris.
Oratoire Notre-Dame de Fatima
Je suis touché par le témoignage de cette jeune femme… Mais son problème est physique et pas moral. Elle regrette la douleur, pas son geste. Je ne sais pas si on peut donc considérer cela comme un argument pro-vie.
Si son avortement ne l’avait pas souffrir, l’aurait-elle regretté et aurait-elle critiqué le « planning » « familial »? Rien de moins sûr.
Sylvie
La semaine prochaine, je vais faire la distribution de tracts pour la marche du 22 janvier… car en ce moment, je préfère me reposer et récupérer dès que les fêtes de fin d’année seront passées.
Je vais sillonner les rues de mon quartier sans problèmes.
Ce sera effectif à partir de lundi prochain. Sauf le jeudi (où je vais au scrabble).
Je vais boîter.
Aujourd’hui, je vais au festival des Jeux jusqu’à jeudi soir. Histoire de se remettre d’aplomb et de préparer la nouvelle année sur de nouvelles bases.
La marche pour la vie est pour moi un entraînement, une compétition, une activité sportive pour la préparation de l’année en cours (traversée de la baie du Mont-Saint-Michel à la Pentecôte, visites des îles bretonnes, participation aux festivals celtes et interceltiques de Lorient).
C’est avec une grande joie que j’irais marcher pour améliorer ma santé et j’amènerais un drapeau normand plus un bouquet de fleurs….