D’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :
[…] La politique républicaine n’est pas du droit, comme elle le prétend. Elle s’habille de droit pour se justifier. Depuis le début. Et quel droit ! Un exemple : qui a jamais osé poser une question à François Hollande sur son trésorier de campagne dont les comptes personnels foisonnaient sur des îles sans droit et dont le but, en contrepartie du service rendu, était d’imposer en France par Hollande interposé le mariage homosexuel, qualifié de mariage pour tous – c’était très important pour la suite mondiale des opérations –, tant le droit de la République peut dire tout et n’importe quoi : il suffit d’une loi votée par une bande de partisans. Et voilà ce qui s’appelle l’État de droit, intouchable et incritiquable par définition. Qui veut bien comprendre, comprenne ! Peut-être les Français comprendront-ils un jour comment ils sont cocufiés. Ce beau travail législatif fut pratiquement l’unique raison d’être du quinquennat Hollande. Tandis qu’on discutait gravement de la façon d’unir deux messieurs ou deux dames, ou encore deux ni-homme ni-femme, les Trierweiler et les Ségolène qui auraient pu s’y croire, n’ont été que les jouets du même François et se sont faites coiffer au poteau par la Julie Gayet ! Amusant, n’est-ce pas ? De l’art d’être cocu et du sport de cocufier, à quoi se ramène toute la politique en France. En tous domaines !
Gageons que Macron voudra poursuivre dans une si noble voie. Un bon moyen, après avoir usé de la droite pour le pouvoir d’achat et pour la loi de finances, sera de se mettre la gauche dans la poche de sa majorité relative avec un projet de loi de constitutionnaliser l’avortement. Pas tout de suite mais à l’occasion. Comme si l’avortement était un droit ! Alors que c’est fondamentalement une suppression de droit, et du premier des droits qui est le droit à la vie. Ainsi tout droit peut être et sera éliminé en fonction des besoins au profit du seul Droit que la République impose et qui devient la Loi. Telle est la logique des principes absurdes qui fondent depuis la Révolution le droit public et, malheureusement, le droit privé français. Plus rien ne tient, les juristes en savent quelque chose. […]
cadoudal
avec la République de la sorcière Veil , la barbarie a fait un grand pas;
le parricide, tuer son enfant , n’est plus un crime abominable
mais c’est devenu un Grand Droit de l ‘Homme, une valeur suprême de la République,
gravée dans le marbre de la Constitution.
le passage des ténèbres réactionnaires à la Lumière du Paradis du Grand Orient.
France Fougère
Un couple en vue qui a quatre enfants, mais la mère- courageuse – se bat comme elle peut, tandis que le père court de l ‘une à l’autre et fait son cinéma.
Quelle triste image pour la France !
On peut penser ce que l’on veut de Madame Ségolène Royal, mais il faut reconnaître son courage.
Giacomo
S.RoyaI, de son côté ne s’est pas gênée non pIus pour courir Ie guiIIedou… Ainsi sont Ies “coupIes modernes” surtout quand iIs sont de gauche. Et Ie miIieu poIitique de gauche bobo (pIéonasme) est très endogamique. Les confortabIes revenus de Monsieur et Madame n’ont certes pas jeté Ieurs enfants dans Ia misère.
Michel
L’avortement est un crime et la loi l’autorisant disculpe ceux et celles qui le perpétuent : c’est donc une loi criminelle puisqu’elle permet la mise à mort d’innocents, voire l’y incite, sans que l’on en recherche ni a fortiori que l’on en condamne les coupables.
Il est d’ailleurs symptomatique que les défenseurs du prétendu droit à l’avortement soient souvent les mêmes qui, des tremolos dans la voix, se déclarent opposés à la peine de mort (des criminels)…
Inversion diabolique du droit donc, laquelle ne peut qu’ensauvager la société…
christianlair
Tout est dit dans le titre de cet article !