Voici le titre qui figure sur le site internet de l’Institut Guttmacher, le vaisseau amiral “scientifique” de Planned Parenthood, le fournisseur d’avortements le plus célèbre et le plus infâme du monde.
Sur ce site en effet, il est écrit que 2021 a été la pire année du dernier demi-siècle pour la liberté d’avortement aux États-Unis d’Amérique.
C’est-à-dire qu’en 2021, plus de lois ont été adoptées pour restreindre l’avortement qu’au cours de n’importe quelle autre année depuis 1973, lorsque le 22 janvier de cette même année, la Cour Suprême fédérale a classé l’affaire… Jane Roe et autres contre Henry Wade, procureur du comté de Dallas -communément appelé “Roe v. Wade”– déclarant l’avortement non illégal dans tout le pays.
En d’autres termes, la violente offensive en faveur de l’avortement en tant que ” droit “, dont l’administration Biden a fait un impératif catégorique, a produit une grande diversité des finalités. Et la longue vague des quatre années de l’administration Trump consacrées à la défense du droit à la vie continue d’avoir des effets importants.
Cependant, il ne faut pas oublier que le succès pro-vie aux Etats-Unis en 2021 n’a pas encore réussi à ébranler le gigantesque bilan sanglant de l’avortement au niveau mondial : En effet, comme l’a documenté le site de statistiques Worldometer, l’avortement a atteint en 2021 le chiffre monstrueux de 42,6 millions disséminés sur toute la planète, contre 8,2 millions de décès dans le monde à cause du cancer, 5 millions à cause du tabagisme, 1,7 millions à cause du sida, 1,3 millions à cause des accidents de la route et 1 million par suicide, sans compter les 3,5 millions des suites du CoViD-19.