Interrogé sur Enquête et Débat, Oskar Freysinger estime simplement que "personne ne doit pouvoir disposer de la vie d’autrui” et “si le débat au sujet de l’avortement en France n’as pas eu lieu, c’est quand même un signe de manque de liberté d’expression”.
L’avortement, un “génocide invisible”
3 commentaires
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Jean Robin
merci pour cette reprise, avec indication de la source cette fois. A noter une erreur de ma part, Freysinger ne parle pas de “génocide voilé” comme je l’avais écrit dans mon introduction, mais de “génocide invisible”, j’ai modifié sur Enquête & Débat.
Ethos
Il est pourtant bien visible ce génocide lorsque l’on constate l’absence d’enfants français de souche dans les quartiers où le blanc a fui depuis les années 85-90, lorsque l’on fait le tour des écoles pour aller chercher les enfants, que ce soit dans le privé comme dans le public d’ailleurs.
C’est le même tropisme dans les villes de province.
C’est très simple : revoir un film populaire des années 70 si on n’a pas la mémoire suffisement claire.
nicole
Dans les associations de parents ayant des enfants trisomiques nous sommes de moins en moins nombreux….c’est à pleurer