Un meilleur accès à la pilule du lendemain n’a d’effet ni sur le nombre des grossesses non désirées, ni sur les taux d’avortement. Les chercheurs, qui ne sont pas défavorables à l’avortement et qui ont pu militer pour un meilleur accès à la pilule du lendemain afin d’éviter des grossesses non désirées et des avortements cliniques, avouent ne pas pouvoir donner une explication au phénomène.
"Des recherches approfondies sont indispensables pour expliquer ce constat et pour définir les meilleures manières d’utiliser la contraception d’urgence en vue d’obtenir un bénéfice pour la santé publique."
L’étude n’aboutit pas à autre chose qu’un constat d’échec sur toute la ligne : alors même que la pilule du lendemain progresse, aucun de ses "bienfaits" annoncés ne peut être constaté, et ce dans dix pays observés par des chercheurs peu suspects de préjugés défavorables. En France, c’est Ségolène Royal qui a rendu possible en 2000 l’administration de la pilule du lendemain à des adolescentes, à l’insu de leurs parents.
claire
La seule chose qui progresse avec la pilule du lendemain, c’est le taux de stérilité des femmes qui l’ont utilisée à plusieurs reprises. QUAND le dira t’on enfin???
NLC
Je ne suis pas chercheur, et je suis défavorable à l’avortement, mais n’ont ils pas pensé une seconde que l’existence et la promotion de ladite “pilule” pouvait favoriser voire encourager la promiscuité, et que donc, à l’inverse, cela faisait augmenter le nombre de grossesses non désirées, d’avortements, surtout en comptabilisant les “succès” de la pilule parmi ces derniers…
Kelkin
Pour répondre à NLC : si bien sûr ils y ont pensé, ou alors ce sont de parfaits crétins et on se demande comment ils ont eu leurs diplômes de médecine.
On ne peut donc en conclure qu’une chose : ils sont malhonnêtes, soit par goût du lucre, soit par idéologie, ou plus vraisemblablement par un mélange des deux.