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Culture de mort : Avortement

L’échographie contre l’avortement

Le père d’une fille de 11 ans, qui attend un enfant suite à un viol, avait demandé l’avortement. Après avoir vu l’échographie de son petit-fils de 8 semaines, il vient d’y renoncer. Dès cet âge, on peut en effet percevoir la forme humaine et surtout entendre les battements de coeur de l’enfant à naître. Le grand-père en fut si bouleversé qu’il changea d’avis et s’engagea à faire tout le nécessaire pour que son petit-enfant puisse naître.

Comme l’écrit Jeanne Smits :

"Certes rien n’est facile dans une telle affaire où l’on parle de la grossesse d’une petite fille, et dans quelles conditions… Mais assurément le traumatisme de l’élimination volontaire de son enfant est encore plus lourd à porter que celui du viol et de la grossesse"

MJ

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8 commentaires

  1. J’ai un souvenir hélas bien trop préçis de ce que me disait une amie des conséquences de son avortement à la suite d’un viol

  2. Il y a l’échographie d’un avortement sur cette page:
    http://abimopectore.over-blog.com/article-3053435.html
    C’est le film le Cri Silencieux…
    Désolé pour l’auto-promotion.

  3. Magnifique. D’autant plus qu’il s’agit là d’un cas dramatique mis en avant pour cette raison même par la propagande pro-mort.
    Comme sur un tableau, par petites touches successives, les signes d’espérance se multiplient, et ébranlent mine de rien les certitudes et les à-prioris sur lesquels reposent la forteresse – hérissée de miradors – de la culture de mort.
    N’oublions pas d’ajouter un coup de pinceau au tableau le 21 janvier 2007 en participant à la grande marche unitaire pour la vie.
    Toutes les bonnes volontés prêtes à donner un coup de main pour distribuer des tracts en sortie de messe à Paris et région parisienne ouest le dimanche 7 ou – surtout – le dimanche 14 janvier peuvent se faire connaître rapidement à l’adresse suivante, afin que des équipes puissent être constituées :
    [email protected]

  4. certes,certes, mais ce qui serait bien également c’est d’éviter les viols!
    le viol, qui jadis était passible de 20 ans de réclusion actuellement vaut au violeur quelques années parfois avec sursis, parfois même encore moins
    une campagne d’information sur ce que représente le viol, ça serait peut-etre pas si mal
    c’est bizarre, malgré toutes nos femmes politiques, on en parle jamais
    les politiques sont-ils pour la banalisation du viol?

  5. Utiliser ce genre d’argument est à mon sens une grave erreur! Car c’est se placer sur le même plan que les pro-choice, celui de la compassion et du ressenti. Et là, la souffrance de la mère, la souffrance supposée de l’enfant futur… seront toujours plus fort que l’image d’un foetus.
    La question est bien ontologique: Si le foetus est un homme et il l’est alors l’avortement est un meutre. Et dans ce cas, la vie humaine n’a pas à dépendre de ma sensation face à une image…

  6. Que les blablablas s’interrompent …pour 1 courte minute de recueillement et de louange car la vie d’un tout-petit a été épargnée et toute la Cour céleste est dans la Joie et nos coeurs aussi!
    ALLELUIA!

  7. En tant que femme, je ne peux qu’être d’accord avec Xango : le viol n’est pas suffisamment pénalisé ; c’est le crime le plus abject dans la mesure où il laisse la victime dans l’obligation de vivre après avoir été littéralement “tuée”, en tant que personne. Je me pose aussi la question de savoir si cette mère de douze ans pourra et saura aimer son enfant ?

  8. @zazie
    merci zazie
    car à force de décrire la joie de la femme violée d’avoir quand même un enfant, n’est-ce pas…

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