Lors de l’audition du Mouvement Mondial des Mères par l’Entente parlementaire pour la famille, quelques chiffres ont été présentés aux parlementaires, soulignant que le budget de la branche famille prévu pour 2022 est insuffisant. Extraits :
Make Mothers Matter (MMM) France a publié les résultats de son enquête menée auprès de 22 000 mères de jeunes enfants sur leur vécu, leurs difficultés et leurs attentes lors de cette période clef pour le développement futur des enfants. Voici quelques chiffres clés :
Concernant la grossesse et l’accouchement :
- Pendant la grossesse, les mamans souhaiteraient des horaires aménagés (77%), plus d’information sur les différents lieux de naissance (68%) et être mieux formées à l’allaitement (78%).
- Pour 76% des femmes la façon d’aborder l’accouchement a changé après leur premier enfantement, une première expérience qui révèle un souhait d’accouchement moins médicalisé́. 93% des mères sont favorables à la création de nouvelles maisons de naissance et 86% des femmes souhaitent que l’accouchement accompagné à domicile soit intégré dans l’offre de soins.
Elles plébiscitent un meilleur accompagnement car 31% d’elles ne se sont pas senties respectées par l’équipe médicale : 29% des répondantes ont vécu des violences obstétricales. - Comme le préconise le rapport Cyrulnik rendu public en septembre 2020, 53% des mères souhaitent bénéficier d’un accompagnement systématique à la maison après la naissance et
49% pouvoir s’appuyer sur un professionnel identifié pour un accompagnement continu de la grossesse au post-partum mais à condition de pouvoir choisir librement le référent (90%). - Le constat concernant l’allaitement est sans appel : 83% des participantes souhaitaient allaiter au moins un de leurs enfants dont (67% « absolument ») mais 66% d’entre elles n’ont pas réussi à allaiter leur(s) enfant(s) aussi longtemps qu’elles le souhaitaient à cause d’un manque d’accompagnement (39%).
- 1 maman sur 3 a vécu une dépression post-partum (35%). Les dépressions post-partum sont plus présentes chez les femmes ayant vécu des violences obstétricales (46% versus 29%).
Pour éviter ces dépressions post-partum, les mères ont besoin de se sentir entourées et plébiscitent un congé paternité plus long.
Concernant la conciliation vie professionnelle/ vie de famille :
- 44% des mères interrogées disent avoir vécu un burn out parental.
- Lors du retour au travail, les mères aimeraient bénéficier de flexibilité professionnelle (60%).
- Le rapport de la commission propose de créer un congé parental court (9 mois) bien rémunéré (75% du salaire), partageable entre les 2 parents. Les mères sont très favorables à cette proposition : 81% disent qu’elles prendraient un tel congé et 40% pensent que leur conjoint le prendrait aussi. 81% des mères aimeraient que les parents puissent choisir librement comment se répartir le congé entre eux.
- Si un congé parental court bien rémunéré est créé, 84% des mères souhaitent qu’il coexiste avec le congé parental long actuel (plus faiblement rémunéré).
- Toutes les mères n’ont pas recours aux mêmes modes de garde et leur pratique évolue avec le rang de naissance de l’enfant : les assistantes maternelles sont le 1er mode de garde des
enfants de rang 1 (48%), suivi par les parents (37%) et les crèches (34%). Au 3ème enfant, les parents gardent majoritairement l’enfant (58%) devant les crèches (29%) et les assistantes
maternelles (26%). - Au regard du coût des crèches pour les finances publiques et du manque de places disponibles, 82% des mères souhaiteraient qu’on investisse davantage dans un long congé parental mieux rémunéré permettant aux parents qui le souhaitent de garder eux-mêmes leurs enfants.
VIVANT
Une politique familiale saine doit relancer la natalité des futurs mâles blancs quinquagénaires et non pas celles des créolisés et autres gens des communautés qui ne sont pas en voie de disparition. ‘SOS bébé blancs’ nous crient BB. La politique familiale relancée passe au préalable par Zemmour-Président, le contrôle assimilateur des ‘réfugiés climatiques’, et ensuite la politique de défense et la politique de reconquête des territoires actuellement colonisés ciblent le nihilisme suicidaire des blancs de souche et autres assimilés à la France en leur donnant des aides au développement nataliste. Sans oublier le rôle des évêques qui est de baptiser (mission) et non pas d’indemniser en se battant la coulpe sur la poitrine et l’argent des fidèles (démission qui fait sourire les avorteurs et autres contracepteurs).
philippe paternot
bayrou a publié un rapport préconisant la venue de millions d’immigrés pour faire remonter cette courbe!
mais vit on mieux en chine ou en inde qu’en aveyron?