Reynald Secher raconte à La Nef ses mésaventures à partir de 1986 et de son ouvrage Le génocide franco-français, la Vendée-Vengé :
Les problèmes ont commencé une semaine avant la soutenance : on a cambriolé mon appartement pour me voler ma thèse, puis le lundi suivant un homme prétendant agir au nom du gouvernement m’a proposé mon silence moyennant 500 000 francs et un poste à l’Université. J’ai refusé. Là encore, contrairement à ce qui a été écrit, j’ai pu soutenir ma thèse sans problème. Ce n’est qu’une année plus tard, suite à sa publication aux PUF et à l’émission de Bernard Pivot, le 11 juillet 1986, que mes problèmes ont commencé. J’ai dû donner ma démission de l’Éducation nationale et ma vie est devenue un véritable calvaire. Je raconte très précisément les choses dans un ouvrage intitulé La désinformation autour des guerres de Vendée et du génocide vendéen, édité par Fol’Fer. Quant aux médias, que dire, sinon que dans l’ensemble ils se sont déchaînés en me condamnant. Rares ont été les journalistes d’envergure courageux comme Georges Suffert, Louis Pauwels…"