L'Insee a indiqué jeudi que la dette publique du pays avait atteint 2137,6 milliards en hausse de 40,7 Md€ par rapport au trimestre précédent.
À la fin du premier trimestre 2016, la dette nette des administrations publiques s'élève à 1 922,8 Md€, soit 87,7 % du PIB (contre 87,3 % au trimestre précédent), en hausse de 17,9 Md€.
À la suite d'une révision du PIB en valeur pour l'année 2015, l'endettement de la France à la fin de l'année dernière vient d'être revu en hausse à 96,1 % de la richesse nationale (contre 95,7 % initialement annoncés).
Dans Les Echos, François Hollande affirme sans fard :
"D'abord, il y a bien une reprise en France et un début d'inversion de la courbe du chômage. C'est un fait indiscutable."
Pascal.P
Toutes les semaines , ou presque , voir deux fois par semaine , le régime socialiste emprunte entre 6 et 9 milliards . Cette information est totalement invisible dans les media français .Il faut aller sur des sites étrangers .
Papon
L’influence de l’invasion migratoire se traduit d’abord dans les chiffres, celui de la dette est le plus eloquent.
rolmi
Toujours se rappeler que l’Insee est expert dans l’enveloppage d’impostures dans des vérités connues.
Engel
Depuis 1975, la France enchaîne les déficits publics :
https://twitter.com/ObsGaspillages/status/649243074661625856/photo/1?ref_src=twsrc%5Etfw
L’endettement de la France est depuis régulièrement à la hausse comme si cela faisait partie d’un programme prévu d’avance :
http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2016/06/dette-publique.jpg
De son côté, pour maîtriser toutes les richesses, « la Bête » par le biais de la Fed a endetté toutes les banques. Sa planche à billets (fausse monnaie), aidée de celle du Japon et de la Grande Bretagne, puis de l’U.E., rachète tout ce qu’elle trouve. Le CAC 40 par exemple, qui représente les 40 plus grosses sociétés françaises cotées en bourse, appartient pour 75% à des investisseurs étrangers. L’outil : les subprimes. Car en endettant les banques de tous les pays, on endette leur population. Une manière comme une autre de maîtriser les richesses de la planète.
https://fr.news.yahoo.com/news/le-cac-40-toujours-plus-150300993.html
Mais aux USA, ce qui est drôle, 52% des actions du Dow Jones et du S&P sont la propriété de la FED ! Donc achetées avec de la fausse monnaie. Ce qui veut dire que sans la Fed, ces marchés ne vaudraient plus grand chose.
http://thedailycoin.org/2016/05/30/anonymous-hacks-federal-reserve-grabs-stock-ownership-files/
Le hasard n’existe pas. Même l’ancien gouverneur de la Bank of England, Mervyn King, avait bien compris avec AIG, que la crise de 2008 fut une opportunité pour permettre aux commissaires européens d’acquérir plus de pouvoir.
http://www.zerohedge.com/news/2016-03-02/striking-admission-former-bank-england-head-european-depression-was-deliberate-act
On utilise les problèmes environnementaux (réchauffement climatique), de terrorisme (opérations false flag), de crise économique (provoquée), pour faire avancer l’agenda mondialiste. Car sur terre il y a assez de richesse pour tout le monde. On peut nourrir avec les techniques actuelles 12 milliards d’habitants sans problème. Qui donc veut s’accaparer des richesses et pourquoi ?
Myriam
Quelle importance
On pourra pomper les comptes des pauvres épargnants !!!!!
Le peuple reste le peuple !
NicolasJaisson
La crise de 2008 a vu émerger “le socialisme de marché”, c’est-à-dire la possibilité de s’endetter de façon illimitée auprès des banques, pourvu que les titres de dette soient garanties par la Banque centrale européenne, qui joue le rôle de prêteur de dernier ressort par rapport aux banques centrales nationales de la zone euro. Dans le contexte de l’endettement auprès des banques, il ne s’agit nullement de faire tourner la planche à billets à plein régime, mais de créer de la monnaie sous forme de titres de dettes qui servent de collatéral pour les opérations de marché des banques. Quand un titre de dette est reconnu “éligible” par la BCE, il peut être pris en pension auprès de la banque centrale contre un prêt en cash exprimé en “monnaie banque centrale”. Ainsi les banques font coup double, car d’une part elle sauve leur bilan, en inscrivant à l’actif des portefeuilles de dettes obligataires réputées “sans risque” et d’autre part elles peuvent financer avec effet de levier des expositions sur produits dérivés inscrites en hors-bilan. Ce qui explique pourquoi le volume des dérivés de crédit par exemple a été décuplé depuis 2008, tout comme les titres à haut rendement, comme les corporate bonds, alors qu’ils portent un risque certain d’insolvabilité. Ainsi l’endettement public nourrit en permanence la finance virtuelle, dont les revenus sont transformés en monnaie réelle pour le financement des dépenses alimentées par la dette publique. Les technocrates sont mariés depuis toujours aux banquiers, mais surtout depuis Maastricht, qui sont les magiciens de la transformation de la monnaie virtuelle sous forme de titres de dettes en monnaie réelle qui gonfle artificiellement la croissance avec les dépenses publiques qui sont incluses dans le calcul du PIB. Ainsi quand les politiques prétendent combattre la finance prédatrice, ils cachent en fait qu’ils en sont les complices, par l’hypothèque de la richesse nationale qui rembourse marginalement la dette et la destruction de l’économie réelle dont le capital est absorbé par la création de dettes bancaires destinées prioritairement au financement des entreprises multinationales notées sur les marchés et aux Etats nationaux. Ainsi l’Etat italien peut s’endetter à taux quasi nul sur les marchés alors qu’il est insolvable et que l’économie privée italienne est en faillite, du fait que les titres de dette souveraine sont achetés par les banques italiennes qui vendent, avec l’autorisation de la BCE et de l’Allemagne, leurs portefeuilles de prêts en défaut inscrits à leur actif(le tiers des emprunts privés italiens!) à la banque centrale italienne. Celle-ci les refile à la BCE qui la crédite du montant nominal pour financer les banques italiennes qui sont ainsi sauvées de la faillite tandis qu’elles peuvent acheter les obligations de l’Etat italien à 0,33%!! Qui dit mieux??
Irishman
Encore onze mois à tenir avec ce bouffon… Mon Dieu, donnez nous le courage et la patience !
visiteur
Je vous invite à lire l’ouvrage
“La guerre des monnaies” écrit par un chinois ayant vécu aux USA
https://www.amazon.fr/guerre-monnaies-Chine-nouvel-mondial/dp/2355120544
Ce livre explique comment par la création de la monnaie-dette, les banquiers ont pris le contrôle des entreprises et des états.
Rappel :
“Donnez moi le contrôle de la monnaie et peut m’importe qui fait les lois”
http://www.wikistrike.com/article-comment-prendre-le-controle-d-une-nation-methode-gratuite-109402553.html
La question : pourquoi aucun partie politique ne demande à revenir sur loi “Pompidou, Giscard, Rothschild” votée en 1973 et qui a endetté la France ?
poulakia
Allo Moody’s ? Allo Standard and Poors ?
Entrepreneur
Le pire, c’est que le vrai chiffre de la dette est truqué par l’Agence France Trésor comme l’explique BFM…
Gisèle
@Pascal P
Empruntent à qui ???
AUX BANQUES ISLAMIQUES !