Pour Elements, François Bousquet a interrogé Pierre Sautarel, le fondateur de FDesouche. François Bousquet explique :
La première raison de la crise de la presse, c’est la médiocrité de la presse. S’il y avait aujourd’hui un Pierre Lazareff, l’homme qui a fait de France-Soir le plus gros journal français après-guerre, il s’intéresserait à ce type de personnage. Sautarel a inventé un modèle de journalisme à prix cassé – le rêve de toutes les rédactions –, pas seulement un journalisme de lien, pas seulement une revue de presse sans commentaire. Car il faut bien comprendre que le commentaire, c’est ce qui nous empêche de voir le réel. Il a disparu ici au profit de la réalité brute, sans filtre. Allons plus loin : le commentaire est le monopole des médias centraux sur le contrôle de l’information. Il est constitué d’un ensemble de non-dits, de leurres, de faux en écriture, d’antiphrases soviétiformes, le tout formant la novlangue du Système. La fonction de cette novlangue : faire écran au réel. Comme percer cet obstacle ? En contournant ses dispositifs de neutralisation. Savez-vous qu’il n’y a pour ainsi dire pas d’émeutes urbaines en France ? Si vous faites une recherche avec pour mot-clé « émeute », vous ne pouvez identifier qu’une émeute sur dix. Comment procéder alors ? Avec d’autres mots-clés. Sautarel en a deux mille dans sa besace, comme les cailloux blancs du Petit Poucet. Tapez « mortier » et vous récupérerez jusqu’à 80 % des articles sur les émeutes urbaines.
Mais Fdesouche, c’est beaucoup plus que cela : c’est une machine à sortir des scoops en haut débit. Pour m’en tenir à l’actualité toute fraîche, Sautarel et sa bande ont sorti l’affaire de la candidate LREM voilée, Sarah Zemmahi, fait connaître la manif LGBT de Touraine interdite aux Blancs, exhumé les verbatim anti-Blancs de Youssoupha. Le tableau de chasse est impressionnant. Parmi ses grands faits d’arme, Fdesouche a été le premier à parler des viols de masse en Angleterre, bien avant avant la presse nationale anglaise, en relayant la PQR anglaise. Le premier à parler des agressions sexuelles du Nouvel An 2016 en Allemagne et à relancer l’affaire outre-Rhin. À lancer la polémique Frédéric Mitterrand, en 2009, en ressortant le passage où l’auteur de La mauvaise vie évoque sa pédophilie touristique. À permettre la déprogrammation du concert de Black M lors du centenaire de la bataille de Verdun, en 2016. À poster les vidéos des émeutes de Dijon l’été dernier. Etc., etc.
Bernard Mitjavile
Il y a aussi E et R de Soral. On peut ne pas approuver la ligne éditoriale de Soral mais on a du bon journalisme d’investigation courageux, ouvert au monde, en particulier aux milieux conservateurs américains, avec des enquêtes originales, ce qui n’est pas le cas des grands médias qui répètent des idées toutes faites et politiquement correctes.
Meltoisan
Non seulement “On peut ne pas approuver la ligne éditoriale de Soral” mais on doit la combattre et la condamner (sans pour autant l’interdire).
Avec Dieudonné, il y a eu un positionnement anti juifs et pro islam absolument insupportable !
DUPORT
La presse n’est pas médiocre ce sont d’excellents propagandistes !
Ils ne font pas de journalisme ce sont des soldats travaillant dans la désinformation de masse.
C’est un travail ingrat demandant un travail 2 fois plus important que celui d’u journaliste.
Manipulez des photos, travestir les faits etc. est un surcroit non négligeable de travail
Ils sont d’ailleurs grassement payés à cet effet, non pour informer mais pour manipuler.
Reine Tak
Les journaleux ont remplacé les journalistes et les merdias ont pris la place des mass media.
Tout ce joli monde, haut parleur du pouvoir en place, tente de nous faire absorber par tous nos pores la doctrine jupitérienne, elle même inféodée à l’église du Mal.
Dieu merci, il existe encore quelques îlots du parler vrai qui permettent, à ceux qui la cherchent, de cerner la réalité.
Merci à ces hommes de courage, journalistes, comédiens, scientifiques qui osent défier le pouvoir et risquent chaque jour leur situation quand ce n’est pas leur liberté ou leur vie, pour nous livrer la vérité.
philippe paternot
la médiocrité de la presse ?
non, la propagande officielle relayée sciemment, l’idéologie gauchiste et pro-islamiste prévue pour le grand remplacement, l’information jamais vérifiée puisque c’est l’afp qui la diffuse etc.