Lu sur le blog de Jeanne Smits :
"Le conseil général de Seine-et-Marne a annoncé jeudi avoir récemment
accordé à une de ses salariées, pacsée avec une femme attendant un
enfant, un congé de « parentalité », une mesure présentée comme « une
première » pour une collectivité locale. Celle-ci – bien sûr aux mains
des socialistes – anticipe ainsi en toute illégalité sur la légalisation
du « mariage » des homosexuels et du droit d’adopter qu’elle vise à
instituer.
Aucun texte français, en effet, ne reconnaît ce qui d’ailleurs n’existe
pas : un lien parental, et encore moins un droit parental du second
membre d’un couple de même sexe sur l’enfant du premier.
Et le fameux congé de 11 jours accordés aux pères pour pouvoir seconder
leur femme ou compagne après l’accouchement et établir une réelle
proximité avec le nouveau-né est bien un congé de « paternité ». […]Dans cette affaire, c’est une illégalité multiple qui se fait jour. Pour
concevoir « leur » enfant, les deux lesbiennes ont contourné l’interdit
français en allant demander une insémination artificielle en Belgique
où elle est ouverte aux couples homosexuels, et c’est cette situation de
fait qui fait obtenir à l’intéressée un statut fictif de « second
parent », qui non seulement n’existe pas en droit français, mais qui est
absurde : l’enfant n’a pas deux mères.De telles décisions ont une grande importance pour le lobby de l’«
homoparentalité ». Elles assurent d’emblée que les restrictions
tactiques apportées au projet de loi sur le « mariage » des homosexuels
par Christiane Taubira n’auront aucune efficacité. Le garde des Sceaux,
on le sait, ne veut inclure ni l’accès à la procréation médicale
assistée ni le principe de la « présomption d’homoparentalité » réclamé
par le lobby, mais elles sont déjà en train de s’installer dans le
paysage social et juridique français. […]"
Bernard Mitjavile
De plus la lesbienne en question travaille au Conseil général et son président, Vincent Ebbé (orthographe?) déclare qu’il s’agit simplement de prendre un peu d’avance sur la loi. Un des vice-présidents de ce conseil, catholique pratiquant que je rencontre à la sortie de la messe, me dit pour expliquer sa position “qu’il n’y a plus que les homos pour croire au mariage”.
Kelkin
Si ces sous étaient ceux de son entreprise, il y aurait regardé à deux fois avant cette action imbécile. Mais là, ce sont les nôtres alors peu lui chaut…