Communiqué des Associations Familiales catholiques du 92 :
"Sollicités par des familles choquées par la campagne publicitaire « sexe entre hommes » au caractère sexuel explicite, des maires courageux ont fait retirer de leur commune les dites affiches. Parmi beaucoup d’autres, citons Christophe Béchu, maire d’Angers, Bruno Beschizza, maire d’Aulnay (93), Philippe Juvin, maire de la Garenne-Colombes (92), Manuel Aeschlimann, maire d’Asnières (92).
Félicitations à ces hommes politiques soucieux d’empêcher que soient « diffusés sur la voie publique ou dans des lieux publics des messages contraires à la décence ». (art. du Code Pénal)
Comme le dit le maire d’Aulnay, on ne peut admettre « ce type de campagne sur des arrêts de bus à la vue de tout le monde et où l’on a des enfants de 7, 8, 9 ans qui apprennent à lire et qui sont parfaitement capables de demander à papa, c’est quoi : un coup d’un soir, c’est quoi une aventure ? »
Avec cette campagne, Marisol Touraine et ses hauts fonctionnaires ont cédé au lobby qui milite pour la banalisation de l’homosexualité et surtout ont voulu continuer leur propagande idéologique contre la morale traditionnelle (urgent avant la fin quinquennat !).
Maintenant elle crée la polémique et avec l’aide des grands médias, elle pratique l’intimidation en accusant ces maires de droite de « haine vis-à-vis des homosexuels » et même de « censure » et elle les attaque devant le tribunal administratif. Un comble alors que le gouvernement s’apprête à censurer les propos sur l’avortement qui ne sont pas dans sa ligne ! (Voir ici)
De plus c’est l‘argent public qui est ainsi gaspillé, car si le but est de lutter contre la propagation du SIDA, d’autres moyens plus appropriés auraient être utilisés (avec des images moins dévalorisantes pour les personnes homosexuelles qui semblent ne pouvoir résister à leur libido).
On voit ici un exemple typique des méthodes employées pour faire passer leur nouvel ordre moral dont la banalisation des pratiques homosexuelles. Prendre prétexte d’une question sanitaire afin que la population et les jeunes en particulier bénéficient d’une « éducation à la sexualité » selon laquelle tout est permis à condition de « se protéger ». Puis intimider les opposants à coups de déclarations fracassantes « homophobie », « censure » en utilisant les grands médias qui sont acquis à la cause.
Dernière nouvelle : la campagne publicitaire devrait se terminer le 24 (avant qu’une autre ne recommence ?)
P.S. Procédure: Dès qu’un Maire envoie un courrier à l’afficheur lui demandant de retirer des affiches en vertu de l’article R 624-2 du Code Pénal, celui-ci doit les faire retirer."