C'est ce qu'a jugé la cour administrative d’appel de Marseille, validant l’arrêté pris en 2014 par Robert Ménard sur le couvre-feu des mineurs:
« La cour estime […] que ces mesures sont légalement justifiées par l’augmentation de la délinquance au cours des années 2011, 2012, 2013 et 2014 dans les zones concernées, où des mineurs sont notamment mis en cause, et dont l’arrêté doit renforcer la protection ».