Le sénateur UMP et conseiller régional de Lorraine, rapporteur spécial de la commission des finances du Sénat à l'enseignement scolaire, a osé établir un parallèle entre homosexualité et pédophilie.
En attendant sa condamnation par l'UMP, à l'image de ce qui était arrivé à Christian Vanneste, des affiches et cartes mémo intitulées «Homo, bi, hétéro, que suis-je?», vont parvenir dans tous les lycées de France, pour assurer la promotion d'une ligne d'écoute, la Ligne Azur, ouverte à tous les jeunes qui s'interrogent sur leur sexualité.
FR
Sur l’affaire Vanneste, lire le livre passionant de François Billot sur les dérives liberticides de la liberté d’expression:
http://laffairevanneste.hautetfort.com/
Mike
Bravo !
Mr Longuet remonte très haut dans mon estime. J’espère qu’il trouvera de nombreux supporters lorsque les foudres des bien pensants ne vont pas manquer de s’abattre sur lui
Turlututu
moi, ce que je voudrais, c’est que ces lycéens toujours “un peu rebelles”, s’ils ne sont pas trop devenus des veaux, taguent, gribouillent, déchirent ces affiches. Mais cela suppose qu’il leur reste un coin de bon sens dans le cerveau.
Luisa
J`aime beaucoup l`ordre dans lequel figurent les “orientations sexuelles” come on aime les appeler !
On aurait pu mettre, que sais-je par ex, ” hétéro, bi, homo, que suis-je?
En réalité ce n`est pas drôle du tout, le lobby gay arrive maintenant aussi à s`imposer dans les écoles à un âge très délicat où il existe un certain flou dans l`identité sexuelle, un passage normal, mais qui peut porter un jeune garçon ou une jeune fille à croire qu`il, elle est homo.
Je suis choquée par la toute puissance de ce lobby gay qui est déjà arrivé à imposer le terme “genre” au lieu de sexe avec toutes les conséquences que l`on sait.
La théorie du genre est un des principaux scandales de notre temps qui est en train de bouleverser les fondements du statut de la famille dans nos sociétés.
Dans la plus grande indifférence et,ou ignorance.
Philippe Edmond
Interrogé par la commission des finances scolaires du Sénat à propos de l’introduction de la propagande homosexuelle dans les lycée, Xavier Darcos fait une bien curieuse réponse.
“Lorsque vous regardez le taux de suicide des enfants de 15 ans, ceux qui ont des problèmes, c’est terrible, et donc nous ne pouvons pas ignorer ce sujet”
Il justifie donc sa politique par l’adhésion à la théorie des critiques de l’homosexualité comme cause du malaise et des nombreux suicides de ceux qui ont des pratiques homosexuelles.
D’autres groupes sont quotidiennent mal consédérés et ne connaissent pas de taux de suicide plus élevés que la moyenne. La cause de ce malaise vient donc peut être des conséquences psychologiques des actes homosexuels eux mêmes.
Promouvoir un site internet construit pour encourager la transformation d’un simple malaise adolescent passager en pratique homosexuelle durable. Dans ce cas là la politique suivie ira plutôt dans le sens d’une augmentation du nombre des adolescents en difficulté.
Interrogé par la commission des finances scolaires du Sénat à propos de l’introduction de la propagande homosexuelle dans les lycée, Xavier Darcos fait une bien curieuse réponse.
“Lorsque vous regardez le taux de suicide des enfants de 15 ans, ceux qui ont des problèmes, c’est terrible, et donc nous ne pouvons pas ignorer ce sujet”
Il justifie donc sa politique par l’adhésion à la théorie des critiques de l’homosexualité comme cause du malaise et des nombreux suicides de ceux qui ont des pratiques homosexuelles.
D’autres groupes sont quotidiennent mal consédérés et ne connaissent pas de taux de suicide plus élevés que la moyenne. La cause de ce malaise vient donc peut être des conséquences psychologiques des actes homosexuels eux mêmes.
Promouvoir un site internet construit pour encourager la transformation d’un simple malaise adolescent passager en pratique homosexuelle durable. Dans ce cas là la politique suivie ira plutôt dans le sens d’une augmentation du nombre des adolescents en difficulté.
Interrogé par la commission des finances scolaires du Sénat à propos de l’introduction de la propagande homosexuelle dans les lycée, Xavier Darcos fait une bien curieuse réponse.
“Lorsque vous regardez le taux de suicide des enfants de 15 ans, ceux qui ont des problèmes, c’est terrible, et donc nous ne pouvons pas ignorer ce sujet”
Il justifie donc sa politique par l’adhésion à la théorie des critiques de l’homosexualité comme cause du malaise et des nombreux suicides de ceux qui ont des pratiques homosexuelles.
D’autres groupes sont quotidiennent mal consédérés et ne connaissent pas de taux de suicide plus élevés que la moyenne. La cause de ce malaise vient donc peut être des conséquences psychologiques des actes homosexuels eux mêmes.
Promouvoir un site internet construit pour encourager la transformation d’un simple malaise adolescent passager en pratique homosexuelle durable. Dans ce cas là la politique suivie ira plutôt dans le sens d’une augmentation du nombre des adolescents en difficulté.
http://veille-education.org/post/2008/11/10/Largument-du-ministre-pour-justifier-la-lutte-contre-lhomophobie
roding
Bravo à Gérard Longuet
Est il le seul parlementaire à avoir ce courage?
Bernard
je vais faire une démarche aupres du collège de mon fils pour m’assurer qu’il n’en sera rien en classe de 5eme.
Jean
Longuet étais, je crois, à Occident.
Jean
Bien sûr, je voulais dire “était” ;-)
texmex
Si X.Darcos avait vraiment le bien des écoliers à coeur, il ferait distribuer aussi les statistiques bien établis qui montrent que les homosexuels masculins surtout ont un taux de suicide plus élevé que la moyenne, une espérance de vie de 30 ans moins que les hétéros, des incidences de maladies très au-dessus de la normal,et des problèmes psychologiques (dépression, etc) plus souvent que dans la population en générale.
Si on s’intéressait vraiment aux jeunes, on leur ferait lire un des livres écrits par des anciens homosexuels qui revèlent ce qu’est vraiment ce monde interlope des soi-disant “gais”.
Tout comme on dirait aux jeunes filles qu’une fille qui a avorté voit son risque de se suicider multiplié par six, ainsi que risque accrue de dépression, problèmes de santé, etc. (cf Elliot Institute aux USA)