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Culture de mort : Avortement / France : Politique en France

Le délai de réflexion était-il encore trop efficace pour les meurtriers de masse?

Dans le journal de réinformation du Parti de la France, Sylvie Collet dénonce la suppression du délai de réflexion pour l'avortement et rappelle les solutions alternatives qui existent et qui devraient être proposées aux Français pour une véritable culture de vie :

Logo"La culture de mort a encore progressé cette semaine dans notre pays. L’Assemblée nationale, dans le cadre des débats sur la Loi Santé, a en effet supprimé le délai de réflexion obligatoire, avant une interruption de grossesse. Un délai pourtant déjà bien court, de sept jours seulement, voulu par Simone Veil elle-même. En 1974, lors des débats parlementaires légalisant l’avortement, ce laps de temps avait été imposécar il était jugé, je cite : « indispensable pour faire prendre conscience à la femme qu’il ne s’agit pas d’un acte normal ou banal ».

Mais ce délai, qui a permis de sauver quelques vies parmi les millions de bébés tués depuis 1974, et qui manquent tant à notre Nation, à notre identité, à notre économie aujourd’hui, face à l’immigration-colonisation et au grand remplacement de population, ce délai de 7 jours donc, était encore trop efficace pour les meurtriers de masse. Et c’est sous le prétexte qu’il était « culpabilisant », qu’il a été supprimé. En 2014, c’était la notion nécessaire de « détresse » qui avait déjà été supprimée, banalisant l’avortement comme un acte de contraception comme un autre. Aujourd’hui, l’Assemblée nationale accorde, dans les faits, plus d’importance à un canapé qu’à un fœtus. En effet, pour avorter, plus de délai de réflexion, alors que pour acheter un meuble sur Internet ou par VPC, vous avez droit à un délai de rétractation de 14 jours… Aujourd’hui donc, accueillir dans votre foyer une cafetière est un acte plus important dans la société française que celui d’y accueillir la vie…

Pourtant, des solutions alternatives existent. Il suffit de promouvoir une politique d’accueil de la vie. Déjà en ne remboursant plus l’IVG, qui n’a pas à être payé par la communauté nationale qui souffre d’une balance démographique négative. Ensuite, en montrant la réalité de ce qu’est un avortement, aux mères qui veulent y recourir. La violence des images est insoutenable, car l’on prend conscience que c’est une vie que l’on tue. Enfin, en donnant la possibilité aux mères, issues de la communauté nationale, de garder leur enfant. Par la garantie d’une situation matérielle et financière bénéfique pour la mère et pour l’enfant. Le versement d’un salaire maternel, l’acquisition de points de retraite par la maternité, des allocations familiales indépendantes des revenus et revalorisées, le développement des crèches en entreprises, etc, etc. (…) 

Et puis, si toutes ces incitations à l’accueil de la vie, ne suffisent pas, la mère peut abandonner l’enfant à la charge de la Nation. En Italie, les fameuses « boites à bébé », où l’on peut en anonymat complet et en toute sécurité déposer un nouveau-né, fonctionnent très bien. L’enfant devient pupille de la Nation, la communauté nationale le protègera. Est-il plus indécent de demander à une femme de donner neuf mois de sa vie au service de la collectivité nationale, qu’à un jeune homme de servir sous les drapeaux pendant douze mois ? C’est aussi cela : faire partie d’une communauté nationale, avec ses droits et ses devoirs (…)

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4 commentaires

  1. Vu la pente “philipote” qu’a prise le Front depuis quelque temps, il est de plus en plus évident que c’est Carl Lang qui avait raison…

  2. Je vous livre un commentaire entendu sur RTL lors des “débats” parlementaires où tous les partis – tous les libertins réunis de France – ont accepté cette iniquité : “De toutes façons, à moins qu’une équipe d’avorteurs soient disponibles dans une pièce derrière celle du médecin, dès lors que l’idée d’avorter est entendue par la femme, il s’écoule nécessairement plusieurs jours voire une semaine avant qu’elle ne puisse avorter. Et, pendant ces jours là, elle a le temps de réfléchir.”
    D’autre part, l’avortement chimique est libre et sans délai.
    Et on nous parle toujours de l’homme qui pousse sa compagne de lit à avorter mais pas de la femme qui refuse à son compagnon de lit la paternité qu’il voudrait accepter, au motif qu’elle n’aime pas vraiment ce “phallus d’un moment”, car la loi retire toute responsabilité à l’homme.
    Et depuis Malthus les gouvernants cherchent à limiter la prolifération des “illettrés”, considérés comme porteurs de tares, qui coûtent à l’économie. Avec l’avortement leurs cheptels humains sont bien cadrés et les reproductrices potentielle peuvent être des travailleuses pauvres qui apportent cette “flexibilité de l’emploi” qui plait tant au “CAC 40”. Ceci est finalement positif car les tenants de la morale chrétienne – qu’ils soient pratiquants ou non – finiront pas prendre numériquement le dessus sur les classes “défavorisées”.
    Tout ceci sous couvert de liberté et d’égalité, mais surtout pas de fraternité avec les femmes qui ont en fait besoin de la protection par la société du fait non de leur faiblesse musculaire mais du fait de leur haute responsabilité dans le devenir de l’humanité.
    Mais beaucoup d’entre elles préfèrent écouter le serpent qui s’est glissé “dans l’arbre de la connaissance du bien et du mal” et à qui elles obéissent en croyant être libres. Car prendre soin de ses enfants et assurer leur éducation morale, sociale et affective dans leurs premières années est-il plus digne que de faire 5 à 10 heures de ménages par semaine ou de mission d’intérim ?
    Je vous rappelle d’autres mesures progressistes que la gauche a voté avec l’autorisation de leurs “opposants” :
    -mariage pour tous
    -bracelet électronique à la discrétion du juge pour les moins de 5 ans de condamnation (incluant pédophiles et violeurs)
    -avortement absolument sans condition et totalement gratuit
    -alourdissement des charges sur les famille jugées trop nombreuses qui ne font donc pas assez appel à l’avortement
    -formatage des jeunes enfants aux idées de Lucifer dès le primaire
    -fausse loi économique qui permet de mettre les travailleurs encore plus en servage
    -euthanasie obligatoire, et impossibilité d’exiger une fin de vie correcte ou des soins de maintien en vie.
    Et bientôt (Sarkozy a dit qu’il la trouvait bien et que l’UMP la voterait)
    -suppression de la vie privée, accès à tous les opposants à Lucifer au motif de lutter contre les terroristes, le projet de loi allant 10 fois trop loin et étant critiqué par tous les juges et tous les avocats.
    Et je vous passe le soutien aux égorgeurs des chrétiens d’Orient (envoi d’armes en Syrie, armes retrouvées en Irak) et soutien de l’Islam en France, ce qui a permis de “radicaliser” plus de 1000 jeunes, accords secrets commerciaux traites et destructeurs d’emplois avec les USA, n-ième traficotage des cartes électorales afin de ne pas trop perdre aux élections cantonales, étouffements des affaires touchant des politiques, accord pour que la BCE donne 1150 milliards d’euros (fabriqués avec la planche à billet contre laquelle la BCE a été créée) aux banques afin de racheter des subprimes de la zone euro, sans aucun espoir que cela aille dans l’économie réelle (les peuples étant responsables à 80% des titres pourris).

  3. Chers grands-papas soixante-huitards,
    Votre idéologie totalitariste a un pied dans la tombe et vous le savez. Après avoir tant détruit, vous cherchez à miner le terrain pour retarder la “réaction” que vous sentez se lever après vous. Elle sera d’autant plus violente.
    Car nous n’admettons plus votre vision consumériste étriquée et vos droits de l’homme “kleenex” incapable de songer à quoi que ce soit d’autre que son “bon plaisir” immédiat. Vous êtes devenus la caricature des bourgeois que vous critiquiez. Jacques Brel et Boris Vian ne disaient pas autre chose.
    Il ne nous reste qu’à attendre votre disparition… mais la liste des ruines “économiquement durables” que nous devrons redresser ne cesse de s’allonger.
    Les médecins disent que vous avez transformé leur “serment d’Hippocrate” (qui interdit de donner poison ou abortifs) en serment d'”hypocrites”. En réalité, les hypocrites: c’est vous. Mais même si vous grimez les réalités sous des noms qui vous semblent politiquement corrects, nous saurons appeler les chantiers que vous nous laissez par leurs véritables noms :
    – droit à la vie et à la protection du faible, refus de l’avortement, l’euthanasie, l’eugénisme,
    – droit à un Foyer, famille, mariage, fidélité et pardon, complémentarité homme femme,
    – droit à sa propre identité, droit d’élever et protéger ses enfants, histoire de France millénaire, politique étrangère non alignée, Europe Chrétienne et solidaire des Pères Fondateurs,
    – droit à un travail digne permettant de loger et nourrir son Foyer, de ne pas se faire confisquer le fruit de ses efforts et d’en disposer,
    – notion de Service et de Bien Commun,
    responsabilité individuelle, respect du bien d’autrui,
    – tolérance, y compris sur le plan idéologique, politique et religieux, etc.
    Il nous faudra bien sûr aborder le tout avec une société aussi à genoux économiquement qu’au sortir de la 2ème Guerre Mondiale ou qu’en 1958.
    Grands-pères soixante-huitards, vous vous étonnez que nous ayons du mal à vous remercier pour le monde que vous nous laisserez, d’ailleurs à votre corps défendant puisque votre vision immédiate refuse jusqu’à la notion de “transmission” et “traditions”. Il ne nous reste qu’à attendre votre disparition… mais sincèrement, nous commençons à avoir hâte que vous nous quittiez…

  4. Faisons simple!!!!!
    À qui rapporte le crime contre l’humanité????
    Les philanthropes ça n’existe pas…..
    À commencer par ceux qui prêchent la bonne parole ….
    Mais nous qui lisons et comprenons avec intelligence
    Qui sommes honnêtes et respectueux
    Placardons La Vérité. Osons poser une question
    Qui interpellera celui qui la lira……
    Le temps des vacances
    Temps de la com!!!!

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