Yves Daoudal n'en croit pas ses yeux :
"J’avais vaguement entendu parler du projet de « la » ministre marocaine de l’Education nationale française de donner des cours d’arabe à l’école primaire. En me disant que c’était sans doute pour la progéniture de ses congénères. Mais voici que ça m’arrive dans la figure, dans un petit village du Centre Bretagne.
Mon petit-fils est revenu chez lui avec un formulaire, dont « l’objet » est son « inscription à un enseignement optionnel de langue vivante étrangère dans le premier degré ». Langue vivante étrangère. Vous avez le choix entre… l’arabe, et le turc.
On dirait qu’il y a comme une discrimination, non ? Ou alors l’anglais, l’allemand et l’espagnol sont devenus des langues mortes. Ou moins vivantes que celles de l’islam… Et pourquoi pas le breton, qui est pourtant une langue étrangère pour le ministère jacobin (islamo-jacobin) ?
Et où vont-ils trouver des professeurs d’arabe et de turc par ici ? C’est le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent déjà intégrer nos enfants à l’oumma…"