Dans Monde & Vie, Gabrielle Cluzel évoque le dernier ouvrage du pédiatre Aldo Naouri, (Les belles-mères. Les beaux-pères, leurs brus et leurs gendres, chez Odile Jacob), qui propose de « soigner les parents pour guérir les enfants »
"Naouri en a autant au service du divorce. Selon lui, la défense de la pérennité du mariage relève même de « l’option écologique » : «quelles que soient les difficultés rencontrées dans ma vie conjugale, je me dois de les dépasser. (…). Je prétends que ce que je construis dans ma génération portera ses fruits dans les générations suivantes. Si je dis en revanche qu’il n’y a que ma jouissance, mon plaisir qui comptent, (…), je consomme sans penser à ma responsabilité face aux générations suivantes». Une manière de développement durable appliqué à la famille."
Vincent
Soigner les parents pour guérir les enfants est un poncif un peu simpliste et qui ne tient pas compte du fait qu’un enfant peut être malade sans que ses parents en soient systématiquement responsables. En revanche, pour ce qui concerne la perennité du mariage, une fois n’est pas coutûme, je vais être d’accord avec lui!
Aurait-il été touché par la grâce?