…le même jour que le résistant au communisme Vaclav Havel.
Jacques Rupnik, dans son Eloge de Vaclav Havel, en octobre 2009, écrivait :
"on ne peut refonder la politique que sur l’éthique. En manipulant la mémoire historique et l’information le pouvoir finit par détruire le critère même de vérité. Face au mensonge institutionnalisé, la résistance de la société commence par ce que Havel, mais aussi Soljenitsyne ou Michnik appelaient « vivre dans la vérité ». L’ethos de la dissidence, la « solidarité des ébranlés » pour reprendre le terme du philosophe Jan Patocka, c’est la réalisation que le « souci de l’âme » de chaque individu devient inséparable du « souci de l’âme » de la Cité.
Au lendemain de la chute de l’Ancien régime Vaclav Havel définissait le point de départ de la dissidence comme le refus du mensonge et du « faire semblant ». « L’origine de cette situation, disait Havel, qui fait penser à Sisyphe, voire à Don Quichotte, est essentiellement morale, même existentielle; elle est due à un sentiment profond de responsabilité personnelle pour le monde. ». "
darblay
Celui là, personnellemnt, je ne le pleurais pas vu les massacres qu’il à fait. Par contre, maintenant il doit faire beaucoup moins le prétencieux devant le Juste Juge!!! Et je pèse mes mots!
Robert
Et un psychopathe de moins sur terre!
Malheureusement, le système communiste produit ce genre de personnalité et la succession est déjà assurée.
Buffalo
La mort de cet individu est un non-événement. Qu’il aille donc maintenant se recommander de son matérialisme dialectique devant le souverain Juge!