Le droit de donner la mort au bébé est “fondamental”
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C.B.
Que ce gouvernement soit cohérent et rétablisse la peine de mort.
Pourquoi est-elle légale dans certains cas et pas dans d’autres?
c
@C.B. Parce que tuer les criminels empêcheraient qu’ils tuent?
deniserp
Ce n’est guère étonnant venant de leur part… Nos gouvernants sont tellement sclérosés dans leur idéologie mortifère qu’il fallait s’y attendre.
l'anarcho
L’avortement est le dogme, le tabou, le sacro-saint droit des femmes de notre génération moderne…
crockett
Si ses parents avaient fait ce qu’elle dit…
C.B.
À l’attention de “c”
Vous semblez vous méprendre sur la teneur de mon message: je ne suis pas en train de plaider pour le rétablissement de la peine de mort, mais sur le fait que avorter, c’est tuer un innocent patent et c’est “un droit fondamental”, alors qu’on se gargarise d’avoir, sous le précédent François, aboli la peine de mort (qui était une horreur, mais qui n’était appliquée qu’à des présumés coupables -mon “présumé” vise à couvrir les erreurs judiciaires-). Il y a donc bien deux peines de mort, l’une légale (l’avortement) et l’autre abolie. Qu’a fait le bébé dans le ventre de sa mère pour mériter la mort?
malloy
La fessée, non mais l’assassinat, oui!!!
Quels hypocrites!
bécassine
@c,
si on tuait les criminels, çà empêcherait les récidives parfois multiples mais je ne suis pas pour la peine de mort, je suis pour la réelle perpétuité ou pour les peines assorties de soins psychiatriques et médicamenteux.
blh
@bécassine ,
et pour les assassinés, vous leurs prodiguez quels médicaments. Ah, c’est vrai, ils sont morts, donc on ne peut rien pour eux.
siloe08
Elle assure donc la continuité idéologique pro-mort déjà adulée par fabius il y a qq décennies.
Ragazzo
La peine de mort ne pourrait-elle pas avoir un effet dissuasif ? Et éviter des récidives cruellement douloureuses…
jeffmoveone
C’est un droit criminel !
bécassine
@ blh,
je comprends votre colère, la “justice” actuelle est très laxiste, on peut considérer que la peine de mort est une légitime défense, mais il y a des erreurs judiciaires et des criminels qui se repentent et parfois même se tournent vers Dieu; j’avoue que si un pervers meurt en prison, par exemple de maladie, cela ne me gêne pas du tout, je serais même tentée d’y voir une intervention de Celui qui décide de la vie et de la mort, mais décider soi-même de la mort de quelqu’un ou la donner soi-même, c’est beaucoup plus difficile.
Je suis autant sensible que vous aux victimes mais laissons-les à Dieu, je suis convaincue qu’au Ciel, on est dans la paix.
Sancenay
Probablement doute une T-party, mais cette-fois avec un grand T comme totlitarisme et sans omettre les grands fours pour les “déchets humains”.
Quelle antre lugubre !
Denis Merlin
Les droits fondamentaux de l’homme sont énumérés dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. Ce sont des droits qui découlent de la nature raisonnable de l’homme. Ils témoignent de que l’homme n’est pas pour la vie ici bas, mais que son existence est ordonnée à Dieu, qu’elle transcende donc la vie de l’homme sur la terre.
De là il découle que le droit “à l’avortement” est un faux droit qui n’existe pas. Aucun droit de l’homme ne peut aboutir à nier un droit de l’homme (article 30 de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948).
broke
Quand la loi Veil a été votée en 1975, la dépénalisation de l’avortement était présentée comme un “moindre mal” (avec d’ailleurs des chiffres largement gonflés sur la réalité des avortements clandestins). A présent, on en est à sacraliser l’avortement et à l’exalter comme un “droit fondamental”. N’accablons pas spécialement Najat Belkacem, en 2002, dans l’un de ses clips de campagne Nicolas Sarkozy présentait le “droit à l’avortement” comme l’une des “valeurs” essentielles de la République.
Soazig NEDELEC
L A M E N T A B L E …et cette mousmée n’a rien à faire ou dire ici…dehors….
c
@C.B et Bécassine.
Désolé c’était de l’humour très noir de ma part(donc sûrement très mauvais, s’il n’a pas été compris).
J’essaierai d’être plus compréhensible la prochaine fois.