Présidente de Contribuables associés, Benoite Tafin est interrogée dans Minute sur le RSA,le Revenu de solidarité active :
"C’est un scandale de plus ! Nicolas Sarkozy nous fait croire que le budget sera équilibré en 2012 à condition que l’Etat parvienne à réaliser 45 milliards d’euros d’économies. D’accord. Mais dans le même temps, on nous explique qu’il est quasiment impossible de dégager 1,5 milliard de marge budgétaire afin de financer le RSA. Moi, je raisonne comme tout le monde : si on ne peut rogner sur 1,5 milliard d’euros, comment le fera-t-on sur quarante-cinq ? D’ailleurs, les sacrifices, c’est à l’Etat de les consentir, pas aux contribuables ! De notre côté,nous avons lancé début septembre une pétition ayant déjà recueilli la signature de plusieurs milliers de contribuables. Elle est disponible sur notre site. Nous demandons au président de la République de ne pas financer le RSA par une nouvelle taxe sur les revenus du capital, car c’est le petit épargnant qui va être pénalisé. Il faut absolument obtenir l’abandon de ce nouvel impôt institué par un homme élu sur la promesse de réduire la pression fiscale."
MJ
maman de 6 enfants
C’est tout à fait vrai: étant veuve avec 6 enfants, je vis du petit revenu d’un capital que m’a versé l’assurance décès de mon mari.Outre le fait que ce capital s’amenuise, à cause des problèmes boursiers, je constate que je paye sur ces revenus le RDS et la CSG qui ne sont pas négligeables et maintenant va se rajouter une nouvelle taxe!Trop c’est trop!
Pitch
C’est dans éditorial du Figaro de M. de Kerdrel que la suggestion de supprimer déjà l’AME pour financer en partie le RSA était apparue.
Cris hystériques des ligues de vertu anti-racistes s’ensuivirent, évidemment.
007/**
Ligues de vertu anti-racistes ou ligues traitres anti-nationales ? Appelons un chat un chat !
O Rei Sebastiao
ceux qui n’auront pas de retraite parce qu’ils n’auront été ni fonctionnaires ni même salariés du privé, ne pourront pas non plus vivre de leurs petits revenus et économies
vivement qu’on les aide à mourir
(c’est prévu, non?)