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France : Politique en France

Le futur procès du gouvernement, des fonctionnaires et des élus de la République

Le futur procès du gouvernement, des fonctionnaires et des élus de la République

De Pierre-Antoine Pontoizeau, pour le Salon beige:

Nous sommes sur la voie d’une démonstration terrifiante. Non seulement le produit de Pfizer ne répond à aucun des critères de la vaccination, mais il n’est qu’un vulgaire médicament défaillant et dangereux ; ce qui va tout changer pour des élus criminels de fait. Car obliger ses concitoyens en bonne santé à prendre un médicament de force, cela constitue un crime.

Un produit qui n’est pas un vaccin

Il ne suffit pas de faire de la publicité mensongère pour avoir raison. Il ne suffit pas d’abuser, tromper ou corrompre les agences américaines pour se prévaloir du titre de vaccin. Nous l’avons écrit très tôt, mais revenons-y une dernière fois. Il aura fallu changer la définition du vaccin dans les plus grands dictionnaires médicaux pour forcer les choses. Ce changement de définition est lui-même un aveu de tromperie. Est vaccin, ce qui est produit selon un procédé pasteurien, et comme le dit avec beaucoup d’humour Naïm dans son spectacle au Grand Point-Virgule : « A ce niveau d’efficacité, on ne peut pas parler de vaccin, c’est du serum physiologique… » ou « Je ne sais pas si on peut appeler cela vaccin, … il faudrait le tester … »

La technique de fabrication n’en faisait déjà pas un vaccin. Mais les deux propriétés d’un vaccin, ce sont bien l’immunité et l’innocuité. Là encore, l’humoriste dit mieux que n’importe quel scientifique ce qu’il en est : « Il n’est pas efficace contre le nouveau variant, c’est comme si le vaccin contre la rage n’était pas efficace contre le yorkshire. »

Alors que la protection n’excède pas un ou deux mois avec un niveau de protection bien défaillant puisque des millions de vaccinés contractent les nouveaux variants, les professeurs Delfraissy ou Caumes et combien d’autres se résignent face à l’évidence : échec, décevant, pas un vaccin, un vague médicament, et encore … . Même l’argument de la protection des formes graves ne tient plus puisque les hôpitaux reçoivent des triples « vaccinés » et qu’il est par ailleurs impossible de comparer simultanément sur une même personne les deux états, ni de comparer deux populations. Ce sont des assertions indémontrables, faute d’avoir pris le temps d’étudier dans la durée des cohortes distinctes.

Un produit qui est un médicament dangereux

Le produit n’est pas sans conséquence, même si les comités de censures tyrannisent encore partout dans le monde. Outre les chiffres produit par les institutions, des millions de personnes peuvent témoigner maintenant de leur souffrance lors de la 3e dose et de leur refus de continuer cette torture.

L’innocuité n’est pas au rendez-vous. Cette autre réalité ne va pas tarder à créer des tensions. Quand des pilotes d’avion, militaires, sportifs de haut niveau sont déclarés inaptes ; cela ne manquera pas rapidement de susciter des controverses et des demandes d’indemnités en années de salaires perdues. Et les personnes handicapées à vie vont-elles aussi poursuivre l’Etat ou le laboratoire. Maître Lanzarone défend un jeune client de 13 ans devenu aveugle après sa première inj(f)ection. Le lien est établi selon l’avocat par un rapport d’expertise de l’AP-HP. Ce n’est qu’un début. L’argent public dévoyée par l’achat puis dévoyée par l’indemnisation ?

 Le législateur, médecin malgré lui en toute illégalité

La situation devient étonnante. Les élus ont voté des contraintes médicales et des obligations, ne l’oublions jamais, pour des populations, prenant même des sanctions graves et stigmatisantes contre les récalcitrants. Mais qu’en est-il de leur décision si le produit est un vulgaire médicament ? Nos élus auraient donc torturé des biens portants, subissant sous la contrainte une thérapeutique, sans jamais qu’un médecin n’ait diagnostiqué une maladie, sans jamais qu’un médecin n’ait pu légitimer une ordonnance pour soigner. Les élus se sont donc substitués aux médecins, ils ont pratiqué illégalement la médecine, car ils ont soumis les populations à une médecine obligatoire. Cela constitue en soi un double crime : exercice illégal de la médecine, violation du consentement à recevoir des soins.

Trois motifs de poursuites des ministres, élus et fonctionnaires de la République

La situation est donc proprement explosive. Des élus ont cautionné l’obligation d’un traitement avec un médicament de piètre facture à des centaines de milliers de fonctionnaires en contraignant les autres citoyens sous la menace de perdre leurs libertés, et cela continue ; alors que nous parlons bien d’un simple médicament défectueux.

Premier motif, l’exercice illégal de la médecine. Il est réprimé par l’article L 4161-5 du code de la santé publique et est puni de 2 ans d’emprisonnement et de 30.000 € d’amende. Sa définition :

« Toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d’un médecin, à l’établissement d’un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu’ils soient, ou pratique l’un des actes professionnels prévus dans une nomenclature fixée par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis de l’Académie nationale de médecine, sans être titulaire d’un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l’article L. 4131-1 et exigé pour l’exercice de la profession de médecin, ou sans être bénéficiaire des dispositions spéciales mentionnées aux articles L. 4111-2 à L. 4111-4, L. 4111-7, L. 4112-6, L. 4131-2 à L. 4131-5 »

Les parlementaires, mais aussi les fonctionnaires d’Etat et le ministre lui-même ont contraint par leur décision des populations à subir l’injection d’un « médicament » sans aucun diagnostic préalable démontrant une mauvaise santé et le besoin personnel de cette thérapeutique.

Dès lors que le produit de Pfizer est un simple médicament, ceux qui ont obligé ont illégalement pratiqué la médecine, la plupart n’ayant aucun diplôme en médecine pour légitimer leur décision qui ont pesé sur les citoyens. La mention « tous autres procédés quels qu’ils soient » inclut bien la décision du vote du parlementaire qui au moment du vote a décidé d’une contrainte médicale obligatoire pour les personnels de santé en particulier. Ce n’est donc pas une loi, c’est une violation du code de santé publique. Chacun d’eux devra être poursuivi, puisque la littérature affirmant que ce produit n’était pas un vaccin était déjà constituée. Ils ont usurpé la fonction de médecin en légiférant sur une médecine générale autoritaire.

Deuxième motif, la violation du consentement et le fait de torture infligée à des innocents.

« Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, du 16 décembre 1966, indique dans son article 7 que « Nul ne sera soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. En particulier, il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Ledit Pacte va plus loin, bien plus loin que le Code de Nuremberg. Selon ce texte, l’expérimentation scientifique ou médicale exercée sur l’Homme peut véritablement constituer une « torture », « un traitement cruel, inhumain ou dégradant » lorsqu’elle n’est pas consentie. »  (Morgan Le Goues. Le consentement du patient en droit de la santé. Droit. Université d’Avignon, 2015. Français. p.13)

En effet, dès lors que nous sommes en présence d’un médicament injecté contre la volonté des personnes, chaque député ou sénateur a décidé en conscience d’infliger une torture à ses concitoyens, en sachant pertinemment au regard de l’état des connaissances scientifiques en leur possession, que ce produit n’était pas un vaccin.

Le fait de torture comme le décrit très bien Morgan Le Goues consiste bien en un traitement humiliant et dégradant. Aller se faire inj(f)ecter un produit bon gré mal gré, dans l’espoir de sortir des autres tortures : l’enfermement punitif des populations en particulier. Les discours font même chantage, démontrant l’intention obsessionnelle d’inj(f)ecter les populations coute que coute. Le traitement est cruel, car il viole l’intégrité physique, il maltraite et occasionne des millions d’effets secondaires dûment enregistrés ceux-là, qui n’auraient jamais dû exister. La personne est violée et atteinte dans sa santé par des souffrances bénignes ou graves selon les cas.

Troisième motif, le crime contre l’humanité qui est le prolongement du précédent. Le crime contre l’humanité est constitué quand en pleine connaissance de cause, le décideur viole les droits fondamentaux humains décrits dans de très nombreux textes internationaux depuis Nuremberg, dont rappelons qu’il fut un procès pénal conduisant à des condamnations à mort, et non pas une vague discussion d’éthique. Il a donc dans ses décisions, force de loi internationales, d’autant qu’il a été cité et développé dans l’ensemble des accords internationaux de façon continue par la suite.

Du point de vue du patient, l’obligation de présenter les choix thérapeutiques rendent encore plus coupables ceux qui ont par charlatanisme fait croire que ce produit était ce qu’il n’est pas. D’où l’importance de ce texte, puisque les députés et les sénateurs ont par leur décision même et les fonctionnaires par leur exécution violé les droits du patient :

« L’ensemble des actions envisagées doit être proposé au patient en envisageant pour chacune d’elles leurs risques inhérents. Cela afin que ce dernier puisse effectuer un rapport bénéfices, risques, lui permettant de choisir et de consentir à la thérapie la plus adaptée. Le législateur a ajouté deux caractères que sont l’utilité de la thérapie et son urgence. Parmi les solutions thérapeutiques envisageables par le patient ce dernier devra choisir celle qu’il estime la plus utile et celle envisageable à plus ou moins long terme selon l’urgence. »  (Morgan Le Goues. Le consentement du patient en droit de la santé. Droit. Université d’Avignon, 2015. Français. p.65)

Ce produit qui n’est qu’un médicament était donc en concurrence avec d’autres thérapeutiques possibles. Le charlatanisme de l’ordre des médecins aura consisté à disqualifier des thérapeutiques et des médicaments pour créer les conditions de l’adoption d’un médicament présenté mensongèrement comme un vaccin. Les élus, le gouvernement et les fonctionnaires se sont fait complices d’une opération de charlatanisme. Rappelons sa définition dans l’article R4127-39 : « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. » Précisons que le premier test a été fait sur une période probatoire de 2 mois seulement. Du jamais vu. Que le test sur la 3e dose a été fait sur une période de moins de 2 mois. Du jamais vu. Qui parmi ces médecins peut prétendre par comparaison avec toute l’histoire de la médecine contemporaine qu’ils n’ont pas fait acte de charlatanisme en faisant la promotion d’un produit « insuffisamment éprouvé » en vertu des normes dont les institutions publiques se sont affranchies en violation du droit.

Trois motifs essentiels qui ne vont pas tarder à devenir une évidence ; dès lors que chacun aura bien compris que nous parlons d’un médicament. Ces crimes sont d’une très grande gravité, d’autant qu’ils ont été commis à l’échelle de nombreuses nations.

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12 commentaires

  1. Il sera aussi mis en place un tribunal ecclésiastique d’exception.

  2. C’est bien parce que les élus actuels ont compris les risques juridiques qu’on les voit prêts à toutes les manœuvres pour conserver le pouvoir.

  3. Le plus grave est que les comptes-rendus d’essais de Pfizer sont parfaitement clairs: le produit est inefficace, l’effet est très peu durable, et le produit provoque des myocardites et autres “joyeusetés”.
    Mais apparemment, personne ou presque ne lit les comptes-rendus d’essais de Pfizer.

  4. On peut faire plus succin merci,

  5. Et bien, on peut dire que le réquisitoire est particulièrement sévère.

  6. Il ne faudra pas oublier dans le rang des accusés, le clergé et l’épiscopat qui ont poussé à la vaccination.

  7. Et le Pape François qui ne s’en sort pas amélioré.

  8. On peut résumer : le covid a été créé pour la vaccination, elle-même créée pour le puçage et le traçage de la population qui en survivrait…les Geogia Guidestones n’ont pas encore été rasées. Ainsi tout s’explique, l’interdiction des médicaments, celle de soigner, les Codes comme celui de Nuremberg non respectés, etc,etc, etc. Nos concitoyens sont moutons et victimes de “l’extrême banalité du mal”. Pour le clergé, c’est pire, ils sont censés avoir lu l’apocalypse. Ils ont charge d’âmes or injecter MRC5 et SM102 est spirituellement criminel.

  9. merci de publier de tels textes. défendez-nous, nous autres mères qui voyons nos jeunes ne plus pouvoir faire de sport ou se rendre en stage ou en bb sitting faute de passeport (quand on a la chance d’avoir un jeune qui se passe très bien de cinéma et de pot avec les amis…)
    défendez-nous et dites-le haut et fort à tous ces chrétiens autour de nous qui trouvent normal de conditionner leur belle liberté d’enfants de Dieu à la possession d’un passeport “vaccinal”, qui ne se posent aucune question…
    c’est triste.

  10. Je viens de lire votre commentaire et vos explications sont très pertinentes, dans la mesure où elles résument parfaitement les problèmes…

    Malheureusement, je crois nos zélites religieuses et autres dirigeantes absolument sûres de ne pas être condamnées.

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