Du Dr Pierre Goube de Laforest, Directeur de Recherches Honoraire au CNRS :
Sachant que :
- Les produits contraceptifs aussi bien que contragestatifs et abortifs n'ont d'autre but (théorique) que de permettre à leurs consommateurs de s'accoupler sans crainte de procréer, favorisant ainsi cette forme occidentale de polygamie que constitue la multiplication sauvage de partenaires sexuels.
- Il en va de même pour le préservatif dont les auteurs sérieux comme E.C. GREEN, Directeur du Projet de Recherche sur la Prévention du SIDA au Centre d’Etudes sur la Population et du Développement à la Harvard, RL. Stoneburner et D. LOW-BEER ou encore J. RICHENS et coll., notamment – s'exprimant sans risque pour leur carrière – s'accordent sur son inefficacité relative voire sur les dangers liés à la fausse sécurité qu'il confère en matière de prévention du SIDA
- C'est ce que viennent de confirmer, preuves à l'appui, Matthew Hanley et Jokin De Irala dans "L'amour face au sida",
j'estime que la première mesure d'austérité qui s'impose – au nom de la solidarité comme de l'écologie – serait la suppression de cette redoutable "niche sanitaire" que constitue le remboursement de différentes formes de toxicomanie "contraceptive" (pilules, pass contraception etc…) dont on sait désormais le rôle important dans la propagation du sida et au besoin, son remplacement par une lourde taxation de ces drogues mortifères.